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Suite à ma visite des gorges du Fier
Le Fier, n'est-ce pas l'Homme, opulent satisfait,
Qui dénature un site avec des passerelles
De fer enracinées dans la roche, pour qu'elles
Lui permettent de voir un lieu qu'il veut forger ?
Le plus grand prédateur voit-il le mal qu'il fait,
A vouloir transformer la Nature à sa guise,
Dressant toujours ses pieux au tréfonds des abysses
Pour commercialiser son désir imparfait ?
Que celui qui traverse un miracle d'or vert
En piétinant la vie, en souillant ses trésors,
Pour un plaisir fugace, et si peu de remords,
Médite un seul instant sur tous les paysages
Que la Nature offrait à nos ancêtres sages
Avant l'âge effréné du pétrole et du fer !
Le Fier, n'est-ce pas l'Homme, opulent satisfait,
Qui dénature un site avec des passerelles
De fer enracinées dans la roche, pour qu'elles
Lui permettent de voir un lieu qu'il veut forger ?
Le plus grand prédateur voit-il le mal qu'il fait,
A vouloir transformer la Nature à sa guise,
Dressant toujours ses pieux au tréfonds des abysses
Pour commercialiser son désir imparfait ?
Que celui qui traverse un miracle d'or vert
En piétinant la vie, en souillant ses trésors,
Pour un plaisir fugace, et si peu de remords,
Médite un seul instant sur tous les paysages
Que la Nature offrait à nos ancêtres sages
Avant l'âge effréné du pétrole et du fer !
