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Les Infantilisés de politicards abusés
Dans ce récit je prétends faire voir
De maints élus la politique vaine
Un beau pays hélas fut laissé choir
Par des élus glandant sur le bord de la Seine.
L’enfer nous fit trouver quantité de fadas
Dont la sottise hélas ne se limitait pas
Et qui n’ayant en tête que quelques idées folles
Font que l’économie du pays dégringole.
Pas la moindre lueur en leur triste cerveau
Les partis trop nombreux devinrent mégalo
Et de l’économie se faisant des tartines
La dette de l’état nous agace et nous mine.
Le peuple eut beau crier : Au secours, je péris.
Les élus mal choisis se foutaient de ses cris.
Et comme le mensonge sur le peuple prenait
En dépit du bon sens chaque électeur votait.
De vérités jamais l’état ne prenant soin
Les votes réfléchis se virent de moins en moins
La France dériva atteignant la sottise
Aux diverses misères devint vite soumise.
Les votants étaient ils si malheureux qu'il faille
Élire des incapables sans discerner leurs failles !
S’ils sont manipulés il faut plaindre leur sort !
De n’avoir l’esprit clair pour aller à bon port.
Je veux blâmer ici plus de gens qu'on ne pense.
Dès un poste vacant trop de nullards s’avancent
Tous babillards télévisuels et tous pédants
Peuvent s’en venir berner un peuple confiant
Le Créateur hélas en a permis l’engeance
Le diable en maints esprits a jeté ses semences
Et grâce aux media aimant partout ronger
Chaque nouvelle du jour est un nouveau danger.
Poussons donc nos élus à cesser promesses
Qui politiquement ne sont que maladresses
Exiger la raison qui les faisant songer
Tirerait le pays de l’actuel danger.
Dans ce récit je prétends faire voir
De maints élus la politique vaine
Un beau pays hélas fut laissé choir
Par des élus glandant sur le bord de la Seine.
L’enfer nous fit trouver quantité de fadas
Dont la sottise hélas ne se limitait pas
Et qui n’ayant en tête que quelques idées folles
Font que l’économie du pays dégringole.
Pas la moindre lueur en leur triste cerveau
Les partis trop nombreux devinrent mégalo
Et de l’économie se faisant des tartines
La dette de l’état nous agace et nous mine.
Le peuple eut beau crier : Au secours, je péris.
Les élus mal choisis se foutaient de ses cris.
Et comme le mensonge sur le peuple prenait
En dépit du bon sens chaque électeur votait.
De vérités jamais l’état ne prenant soin
Les votes réfléchis se virent de moins en moins
La France dériva atteignant la sottise
Aux diverses misères devint vite soumise.
Les votants étaient ils si malheureux qu'il faille
Élire des incapables sans discerner leurs failles !
S’ils sont manipulés il faut plaindre leur sort !
De n’avoir l’esprit clair pour aller à bon port.
Je veux blâmer ici plus de gens qu'on ne pense.
Dès un poste vacant trop de nullards s’avancent
Tous babillards télévisuels et tous pédants
Peuvent s’en venir berner un peuple confiant
Le Créateur hélas en a permis l’engeance
Le diable en maints esprits a jeté ses semences
Et grâce aux media aimant partout ronger
Chaque nouvelle du jour est un nouveau danger.
Poussons donc nos élus à cesser promesses
Qui politiquement ne sont que maladresses
Exiger la raison qui les faisant songer
Tirerait le pays de l’actuel danger.