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Mais où sont donc les bons profs d’antan passés,
Qui imposaient honneur discipline et respect,
A des classes de filles et garçons, surchargées,
Dans un profond silence faisaient régner la paix.
Entrer dans l’enseignement, c’était un sacerdoce,
Alors qu’à notre époque, il est bien plus aisé,
De suivre cette voix sans en avoir la bosse,
Aux vacances et fériés être bien plus motivés.
Enseigner à des classes inférieures à vingt -six,
Trouver toutes sortes d’excuses à tous les illettrés,
Qui leur font respirer leurs bouffées de haschich,
Pendant qu’ils sont planqués dans les cours de récré.
Qui étaient ces bons maitres et ces fermes maitresses,
Toujours fidèles au poste, jusqu’au jour de la re’traite,
S’attaquant aux programmes et nous tenant en laisse,
En nous faisant marcher au son de la baguette.
On les a remplacés par des gentils agneaux,
Qui se font malmener par des hordes de loups,
Refoulant la grammaire glaviotant sur les mots,
Qui se moquent des x sur hibou- chou- caillou.
Est – il encore possible de réparer l’école ?
D’embaucher des légions de bergers plus musclés,
Qui chasse’ront rapidement toutes les idées folles,
Feront régner le calme au son des mots dictés ?
Finiront les rackets, et les cours enfumés,
Les profs iront combattre avec assiduité,
Au lieu de protester, fomenter et « grèver »,
Les bacheliers sauront lire écrire, calculer.
Qui imposaient honneur discipline et respect,
A des classes de filles et garçons, surchargées,
Dans un profond silence faisaient régner la paix.
Entrer dans l’enseignement, c’était un sacerdoce,
Alors qu’à notre époque, il est bien plus aisé,
De suivre cette voix sans en avoir la bosse,
Aux vacances et fériés être bien plus motivés.
Enseigner à des classes inférieures à vingt -six,
Trouver toutes sortes d’excuses à tous les illettrés,
Qui leur font respirer leurs bouffées de haschich,
Pendant qu’ils sont planqués dans les cours de récré.
Qui étaient ces bons maitres et ces fermes maitresses,
Toujours fidèles au poste, jusqu’au jour de la re’traite,
S’attaquant aux programmes et nous tenant en laisse,
En nous faisant marcher au son de la baguette.
On les a remplacés par des gentils agneaux,
Qui se font malmener par des hordes de loups,
Refoulant la grammaire glaviotant sur les mots,
Qui se moquent des x sur hibou- chou- caillou.
Est – il encore possible de réparer l’école ?
D’embaucher des légions de bergers plus musclés,
Qui chasse’ront rapidement toutes les idées folles,
Feront régner le calme au son des mots dictés ?
Finiront les rackets, et les cours enfumés,
Les profs iront combattre avec assiduité,
Au lieu de protester, fomenter et « grèver »,
Les bacheliers sauront lire écrire, calculer.