- Inscrit
- 19 Octobre 2018
- Messages
- 3,486
- J'aime
- 6,079
- Points
- 173
- Age
- 85
- Localité
- Orléans
- Je suis
- Un homme
En ligne
Les Tragiques *
* ( pas ceux d’ Agrippa D'Aubigné 1551-1630)
* ( pas ceux d’ Agrippa D'Aubigné 1551-1630)
Je veux peindre la France une mère affligée,
Qui est, en ce moment, d’incapables chargée.
Et l’’orgueil les menant, des menteurs et des fous
Se battent comme des chiens pour en avoir un bout.
Prêchant la république mais fuyant la justice
Ils s’en viennent inventer de nouveaux maléfices.
Qui est, en ce moment, d’incapables chargée.
Et l’’orgueil les menant, des menteurs et des fous
Se battent comme des chiens pour en avoir un bout.
Prêchant la république mais fuyant la justice
Ils s’en viennent inventer de nouveaux maléfices.
Sous le prétexte faux d’un bienfaisant partage
Ils taxent le français chaque jour d’avantage
Et osent étrangler les finances publiques
De dons aux étrangers bien souvent maléfiques
Il faudrait arracher de ces esprits malades
Cet envie de paraître sans raison charitables
Ils taxent le français chaque jour d’avantage
Et osent étrangler les finances publiques
De dons aux étrangers bien souvent maléfiques
Il faudrait arracher de ces esprits malades
Cet envie de paraître sans raison charitables
Si leur but n’était plus d’améliorer la vie
Il faut des postes clés leur supprimer l’envie
Le peuple aurait raison d’une juste colère
Mais les divers partis de sottise sont mères
Et l’on a jamais vu une foule qui crie
Si un vent malfaisant ne lui troubla l’esprit
Il faut des postes clés leur supprimer l’envie
Le peuple aurait raison d’une juste colère
Mais les divers partis de sottise sont mères
Et l’on a jamais vu une foule qui crie
Si un vent malfaisant ne lui troubla l’esprit
Quelques ambitieux facilement la trouble
De projets irréels aisément ils redoublent
Mais hélas les trompés restent toujours crédules
Élisant des filous aux discours ridicules.
Et comme savoir compter rarement les importe
Des meutes d’incapables attendent à la porte
De projets irréels aisément ils redoublent
Mais hélas les trompés restent toujours crédules
Élisant des filous aux discours ridicules.
Et comme savoir compter rarement les importe
Des meutes d’incapables attendent à la porte
Un excédent d’élus devenant un malheur
Nul n’a encore pensé a en être censeur.
Éliminer les sots vivant de sinécures
Serait pour la finance une juste mesure
Et réduire l’excès de tous nos parasites
Aurait pour Marianne un immense mérite
Nul n’a encore pensé a en être censeur.
Éliminer les sots vivant de sinécures
Serait pour la finance une juste mesure
Et réduire l’excès de tous nos parasites
Aurait pour Marianne un immense mérite
Nul ne peut gouverner au sein d’une querelle
Et ne saurait agir sans esprit fraternel.
On ne peut se sauver d’un excès de tracas
Par des diseurs de riens des nuls des fiers à bras
Il faudra bien alors qu’un esprit unanime
Réveille le pays qui a mauvaise mine.
Et ne saurait agir sans esprit fraternel.
On ne peut se sauver d’un excès de tracas
Par des diseurs de riens des nuls des fiers à bras
Il faudra bien alors qu’un esprit unanime
Réveille le pays qui a mauvaise mine.
Et que tous les partis ayant moins d’influence
Les besoins satisfaits aient seuls de l’importance
Évitons du budget les fuites anormales
Charité bien pensée est d’abord nationale
Et les excès coûteux souvent inefficaces
Ne doivent plus occuper une inutile place
Les besoins satisfaits aient seuls de l’importance
Évitons du budget les fuites anormales
Charité bien pensée est d’abord nationale
Et les excès coûteux souvent inefficaces
Ne doivent plus occuper une inutile place
Or fallait-il avoir l’Europe comme labyrinthe
Le désordre venant d’un excès de contraintes
Espérons un sursaut de pensées convenables
Pour qu’un jour notre état ait des finances stables.
Et un esprit logique avec quelques compteurs
Éjectant les verbeux dépourvus de valeur.
Le désordre venant d’un excès de contraintes
Espérons un sursaut de pensées convenables
Pour qu’un jour notre état ait des finances stables.
Et un esprit logique avec quelques compteurs
Éjectant les verbeux dépourvus de valeur.
Voila pourquoi, c’est dit je ne défile pas,
On m’a promis beaucoup et rien n’en arriva.
On m’a promis beaucoup et rien n’en arriva.