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Pensées profondes aux souffrances d'un peuple vrai dirigé vers la plus grande inspiration : la liberté.
Les voix d'Irlande fredonnent
Entonnent un chant d'amour comme un chant de guerre
Les voix d'Irlande résonnent
Des plaines infinies au creux de chaque pierre.
Les voix d'Irlande s'élèvent au firmament
Et frissonnent aux crinières des chevaux
Les voix d'Irlande au ciel larmoyant
Appellent à la prière au bruit de leurs sabots.
J'entends les complaintes jusqu'au soir endormi
Des femmes endeuillées récitant de longs psaumes
Je vois les châteaux aux murailles noircies
Et les murs de flammes lécher les toits de chaumes.
Les voix d'Irlande pleurent leurs morts
En chants de liberté au prix de leur sang
Les voix d'Irlande sont les roses du nord
Elles chantent la vie et prennent le vent.
J'entends la candeur anoblie des âmes guerrières
Quelles donnent en offrande pour seul trésor
Et je sais, leurs corps enrichis qui nourrissent la tourbière
Du début de chaque lande jusqu'à la mer du nord.
Les voix d'Irlande se meurent
Jusqu'au bord du silence de chaque tombeau
Les voix d'Irlande jusqu'au bord du cœur
Comme seul existence, à fleur de peau.
Les voix d'Irlande sont immortelles
Nous invitent au recueil pour toute évidence
Les voix d'Irlande au feu de chaque chandelle
Espèrent encore une délivrance.
Les voix d'Irlande fredonnent
Entonnent un chant d'amour comme un chant de guerre
Les voix d'Irlande résonnent
Des plaines infinies au creux de chaque pierre.
Les voix d'Irlande s'élèvent au firmament
Et frissonnent aux crinières des chevaux
Les voix d'Irlande au ciel larmoyant
Appellent à la prière au bruit de leurs sabots.
J'entends les complaintes jusqu'au soir endormi
Des femmes endeuillées récitant de longs psaumes
Je vois les châteaux aux murailles noircies
Et les murs de flammes lécher les toits de chaumes.
Les voix d'Irlande pleurent leurs morts
En chants de liberté au prix de leur sang
Les voix d'Irlande sont les roses du nord
Elles chantent la vie et prennent le vent.
J'entends la candeur anoblie des âmes guerrières
Quelles donnent en offrande pour seul trésor
Et je sais, leurs corps enrichis qui nourrissent la tourbière
Du début de chaque lande jusqu'à la mer du nord.
Les voix d'Irlande se meurent
Jusqu'au bord du silence de chaque tombeau
Les voix d'Irlande jusqu'au bord du cœur
Comme seul existence, à fleur de peau.
Les voix d'Irlande sont immortelles
Nous invitent au recueil pour toute évidence
Les voix d'Irlande au feu de chaque chandelle
Espèrent encore une délivrance.