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Poème d'amour L'essence de l'amour

Oiseau Lyre

Poète confirmé
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18 Décembre 2019
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Je suis
Une femme
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#1
J'aspire à contempler cet océan d'étoiles
Qui brille en son regard sous ses beaux sentiments
Ruisselant en ses yeux en refrain larmoyant
Pour que perle en mon cœur le plus doux récital.

Il humecte ma vie de jolis clapotis
Pour peindre en mon esprit la rosée du printemps
Et faire de mes mots de lumineux accents
Pour unir ses chants à mes mornes prosodies.

En effet en lui j'ai réussi à trouver
Le couffin et la joie dont j’aie toujours rêvé
Le centre d’un Eden qui a su se croquer
Depuis plus de trois ans en un amour prisé.

Il m’a offert son âme, son cœur, et son esprit
Ses goûts, ses sentiments, ces préciosités
Qui ont esquissé en mon être, ma destinée
Un avenir meilleur au sein d’une utopie.

Alors j’ai pu plonger mes mains dans la chaleur
De ce tendre soleil en effleurant sa peau
Afin que mon ruisseau irrigue sans accroc
Son bourgeon pour qu’éclose un moment de bonheur.

En parfaite harmonie, nos corps se sont touchés
Pour faire, à l’unisson, un couplet éternel
Afin que chaque fois devienne une étincelle
D’un temps inoubliable où tout pourrait durer.

Ces pérennes instants sont vraiment à chérir
Et crois-moi que jamais je ne veux en guérir
De cette folie qui a su me prémunir
De l’ère où je ne pus que de toi me languir.

Alors lorsqu’on allie nos enivrantes flammes
Tes mains palpant mon être afin que le plaisir
Arrive pour créer le plus franc des désirs
Je sais qu’à tout moment je peux t’offrir mon âme.

C’est là où je comprends que j’ai pris un tournant
Etant encore happée de doutes et d’effrois
Dans ce voyage qui est devenu l’aura
Pour peindre en mon chemin le plus beau firmament.

Jamais je n’ai connu ni je ne connaitrais
Je pense, un aussi beau moment que lorsque l’on
S’enflamment pour former en pénétration
Un relaxant cocon dépeint par son reflet.

Sous l’ère du printemps, on s’est si bien trouvés
Depuis lors nos fleurs ne se sont jamais fanés
En redessinant comme une esquisse de Gé
Chaque fois un tableau aux teintes colorés.

Alors sous ton pinceau j’ai activé ma plume
Et de la a naquit le plus doux des recueils
Qui me berce, et m’anime, lors des moments de deuils
En répondant toujours à toutes mes coutumes.

Je ne me sens plus seule, j’y ai trouvé ma place
Au sein de cet espace où l’esprit vagabonde
Mon abri pour pouvoir m’échapper de ce monde
Qui m’a toujours loué des instants de disgrâces.

Là au moins j’ai acquis le plus savant repère
Afin que mes moments de souffrances moroses
Fassent renaître en moi cette battante rose
Qui avait tôt fini sa course en ses bréviaires.

Alors oui c’est en ce vide intersidéral
Que je me sens le mieux, choyée, et cajolée
Car j’ai pu après de bien mutiques années
Découvrir un trésor en sa blancheur astrale.

Il était magicien, car de mes espérances
Il en un fait un rite en ses pinceaux experts
Pour croquer depuis lors sous son art séculaire
L’algorithme parfait de mes grandes instances.

On était exigeants, on avait tant perdu
On voulait retrouver juste un peu de bonheur
Ce qui aujourd’hui reste un luxe en cette aigreur
Cette sphère mutant en asile incongru.

Alors et ce malgré les fatals châtiments
On a, dans la douleur, su voir l’occasion
En l’ayant exploiter au mieux pour que ce don
Ne soit pas négligé au vue de ces présents.

Il ne fallait surtout pas manquer cet instant
On l’a saisi au vol et depuis trois années
On l’a fait perdurer en ayant progressé
Pour ne plus se quitter aimant tant mon amant.

La vie me l’avait pris, j’étais bouleversée
Plus rien avait de goûts, covid dévastateur
Qui m’avait pris tous ces sentiments de bonheurs
Dont je faisais semblant de connaître l’idée.

Afin de me mentir sur ma dépression
Cette sensations absurde et malheureuse
Où la joie devenait une idée doucereuse
En ce sol effrayant foulé par l’abandon.

Je me terrais dans l’ombre, et je le fais toujours
Je ne suis qu’une ermite écrivaine et conteuse
Mais qui a su trouver en ces foules hideuses
La plus belle pépite au plus sincère amour.

Alors maintenant que j’ai rejoint ton étoile
Cette étoile bergère ayant depuis toujours
Guidé mon chemin, que le temps n’y ait plus cours
Pour profiter à vie de cette belle escale.

Je veux tant rattraper ce foutu temps perdu
De ces conneries que la vie nous à « offert »
Afin de délecter ces nombreuses chimères
Qui cimentent depuis ce recueil éperdu.

Que ce doux paradis ne périsse jamais
En ce bleu indigo d’une riche palette
Que Gé a toujours su, sous ses nobles facettes
Apporter à ce monde, malgré tous nos rejets.

Alors merci pour tout généreuse maman
Pour avoir composé sous ta noble saison
La parfaite ode qui répond à mes chansons
En partageant l’art de cet homme incandescent.

Que jamais ne meurt en cet Eden radieux
Notre amour, voulant qu’il perdure à tout jamais
En cette voie lactée afin que nos reflets
Irriguent nos noirceurs d’un espoir lumineux.

Merci petite hermine, car ce noble trajet
Lovant mes rêveries au sein d’un grand égard
Mutuel, afin qu’il illumine nos soirs
Offrant rapidement un sincère respect…

…Il a su devenir mon plus beau paradis
En ce tendre tableau si propice aux penchants
Par ses tons, ses chansons, son éclat aguichant
Qui inspire toujours, à Gé, ses mélodies.

Oiseau Lyre.
 

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Je suis
Un homme
En ligne
#4
J'aspire à contempler cet océan d'étoiles
Qui brille en son regard sous ses beaux sentiments
Ruisselant en ses yeux en refrain larmoyant
Pour que perle en mon cœur le plus doux récital.

Il humecte ma vie de jolis clapotis
Pour peindre en mon esprit la rosée du printemps
Et faire de mes mots de lumineux accents
Pour unir ses chants à mes mornes prosodies.

En effet en lui j'ai réussi à trouver
Le couffin et la joie dont j’aie toujours rêvé
Le centre d’un Eden qui a su se croquer
Depuis plus de trois ans en un amour prisé.

Il m’a offert son âme, son cœur, et son esprit
Ses goûts, ses sentiments, ces préciosités
Qui ont esquissé en mon être, ma destinée
Un avenir meilleur au sein d’une utopie.

Alors j’ai pu plonger mes mains dans la chaleur
De ce tendre soleil en effleurant sa peau
Afin que mon ruisseau irrigue sans accroc
Son bourgeon pour qu’éclose un moment de bonheur.

En parfaite harmonie, nos corps se sont touchés
Pour faire, à l’unisson, un couplet éternel
Afin que chaque fois devienne une étincelle
D’un temps inoubliable où tout pourrait durer.

Ces pérennes instants sont vraiment à chérir
Et crois-moi que jamais je ne veux en guérir
De cette folie qui a su me prémunir
De l’ère où je ne pus que de toi me languir.

Alors lorsqu’on allie nos enivrantes flammes
Tes mains palpant mon être afin que le plaisir
Arrive pour créer le plus franc des désirs
Je sais qu’à tout moment je peux t’offrir mon âme.

C’est là où je comprends que j’ai pris un tournant
Etant encore happée de doutes et d’effrois
Dans ce voyage qui est devenu l’aura
Pour peindre en mon chemin le plus beau firmament.

Jamais je n’ai connu ni je ne connaitrais
Je pense, un aussi beau moment que lorsque l’on
S’enflamment pour former en pénétration
Un relaxant cocon dépeint par son reflet.

Sous l’ère du printemps, on s’est si bien trouvés
Depuis lors nos fleurs ne se sont jamais fanés
En redessinant comme une esquisse de Gé
Chaque fois un tableau aux teintes colorés.

Alors sous ton pinceau j’ai activé ma plume
Et de la a naquit le plus doux des recueils
Qui me berce, et m’anime, lors des moments de deuils
En répondant toujours à toutes mes coutumes.

Je ne me sens plus seule, j’y ai trouvé ma place
Au sein de cet espace où l’esprit vagabonde
Mon abri pour pouvoir m’échapper de ce monde
Qui m’a toujours loué des instants de disgrâces.

Là au moins j’ai acquis le plus savant repère
Afin que mes moments de souffrances moroses
Fassent renaître en moi cette battante rose
Qui avait tôt fini sa course en ses bréviaires.

Alors oui c’est en ce vide intersidéral
Que je me sens le mieux, choyée, et cajolée
Car j’ai pu après de bien mutiques années
Découvrir un trésor en sa blancheur astrale.

Il était magicien, car de mes espérances
Il en un fait un rite en ses pinceaux experts
Pour croquer depuis lors sous son art séculaire
L’algorithme parfait de mes grandes instances.

On était exigeants, on avait tant perdu
On voulait retrouver juste un peu de bonheur
Ce qui aujourd’hui reste un luxe en cette aigreur
Cette sphère mutant en asile incongru.

Alors et ce malgré les fatals châtiments
On a, dans la douleur, su voir l’occasion
En l’ayant exploiter au mieux pour que ce don
Ne soit pas négligé au vue de ces présents.

Il ne fallait surtout pas manquer cet instant
On l’a saisi au vol et depuis trois années
On l’a fait perdurer en ayant progressé
Pour ne plus se quitter aimant tant mon amant.

La vie me l’avait pris, j’étais bouleversée
Plus rien avait de goûts, covid dévastateur
Qui m’avait pris tous ces sentiments de bonheurs
Dont je faisais semblant de connaître l’idée.

Afin de me mentir sur ma dépression
Cette sensations absurde et malheureuse
Où la joie devenait une idée doucereuse
En ce sol effrayant foulé par l’abandon.

Je me terrais dans l’ombre, et je le fais toujours
Je ne suis qu’une ermite écrivaine et conteuse
Mais qui a su trouver en ces foules hideuses
La plus belle pépite au plus sincère amour.

Alors maintenant que j’ai rejoint ton étoile
Cette étoile bergère ayant depuis toujours
Guidé mon chemin, que le temps n’y ait plus cours
Pour profiter à vie de cette belle escale.

Je veux tant rattraper ce foutu temps perdu
De ces conneries que la vie nous à « offert »
Afin de délecter ces nombreuses chimères
Qui cimentent depuis ce recueil éperdu.

Que ce doux paradis ne périsse jamais
En ce bleu indigo d’une riche palette
Que Gé a toujours su, sous ses nobles facettes
Apporter à ce monde, malgré tous nos rejets.

Alors merci pour tout généreuse maman
Pour avoir composé sous ta noble saison
La parfaite ode qui répond à mes chansons
En partageant l’art de cet homme incandescent.

Que jamais ne meurt en cet Eden radieux
Notre amour, voulant qu’il perdure à tout jamais
En cette voie lactée afin que nos reflets
Irriguent nos noirceurs d’un espoir lumineux.

Merci petite hermine, car ce noble trajet
Lovant mes rêveries au sein d’un grand égard
Mutuel, afin qu’il illumine nos soirs
Offrant rapidement un sincère respect…

…Il a su devenir mon plus beau paradis
En ce tendre tableau si propice aux penchants
Par ses tons, ses chansons, son éclat aguichant
Qui inspire toujours, à Gé, ses mélodies.

Oiseau Lyre.
Trés joli poème d'amour ...J'ai aimé ma lecture emplie de soupirs...Merci JC
 
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