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Sonnet L'étudiant

chessmec

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Il était étudiant, sans un sou, à la ville,
Il rentrait les week-end chez papa et maman,
Dans une campagne, fort isolée, tranquille,
Il était le mendiant d'un coeur adolescent.

Il lorgnait très souvent, la voisine fragile,
Aînée de quatre enfants, que des parents aimants,
Veillaient jalousement dans leur maison " hostile ",
L'accueillant froidement, puis, régulièrement...

Au bout d'un certain temps de belle connivence,
La voisine eut envie d'un point de convergence,
Avec ce prétendant sympathique et jovial.

Deux étés où l'amour triomphant mis les voiles,
De ses yeux de velours où brillaient des étoiles,
A la fin d'un mois d'août dans un fracas brutal.

22 septembre 2020
 

Gabrielle

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#3
Il était étudiant, sans un sou, à la ville,
Il rentrait les week-end chez papa et maman,
Dans une campagne, fort isolée, tranquille,
Il était le mendiant d'un coeur adolescent.

Il lorgnait très souvent, la voisine fragile,
Aînée de quatre enfants, que des parents aimants,
Veillaient jalousement dans leur maison " hostile ",
L'accueillant froidement, puis, régulièrement...

Au bout d'un certain temps de belle connivence,
La voisine eut envie d'un point de convergence,
Avec ce prétendant sympathique et jovial.

Deux étés où l'amour triomphant mis les voiles,
De ses yeux de velours où brillaient des étoiles,
A la fin d'un mois d'août dans un fracas brutal.

22 septembre 2020
bien triste tout ça! la poésie est bien tournée, mais la chute en est bien brutale !
 
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#4
Il était étudiant, sans un sou, à la ville,
Il rentrait les week-end chez papa et maman,
Dans une campagne, fort isolée, tranquille,
Il était le mendiant d'un coeur adolescent.

Il lorgnait très souvent, la voisine fragile,
Aînée de quatre enfants, que des parents aimants,
Veillaient jalousement dans leur maison " hostile ",
L'accueillant froidement, puis, régulièrement...

Au bout d'un certain temps de belle connivence,
La voisine eut envie d'un point de convergence,
Avec ce prétendant sympathique et jovial.

Deux étés où l'amour triomphant mis les voiles,
De ses yeux de velours où brillaient des étoiles,
A la fin d'un mois d'août dans un fracas brutal.

22 septembre 2020
c'est superbement tendre et si bien ecrit j'adore ++++++
 
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