- Inscrit
- 18 Décembre 2019
- Messages
- 148
- J'aime
- 155
- Points
- 93
- Age
- 27
- Je suis
- Une femme
Hors ligne
Sous notre esprit humain nous avons la coutume
D’offrir un patronyme à tous les éléments
Composant notre vie et qui sans cesse exhume
Un sens bien symbolique et assez évident.
Mais pourquoi avons-nous décider de nommer
L’univers tout entier, à part pour se comprendre ?
Débordant de secrets et non de vérité
Où ce géant bleuté recherche à nous méprendre.
Socrate le disait, la plus grande sagesse
Résidait dans l’idée d’un élan téméraire
D’avouer de ne connaitre, en cette ample largesse
Aucun concept du monde englué de mystères.
Nous pensons être bon en ornithologie
En physique, en histoire, ou en littérature
Mais tout n’est qu’illusoire, une simple alchimie
D’hypothèses brunies, que l’on note, puis rature.
Nous ne pourrons jamais prouver sincèrement
Une véracité globale de nos dires
A un cœur néophyte à qui l’on veut gaiement
Partager nos savoirs sous un simple sourire.
En tort, il ne serait, de ne pouvoir nous croire
Puisque nous nous fondons nous même sur des faits
Enterrés et datés et donc aléatoires
D’êtres qui essayaient d’expliquer ce bleuet.
Nous ne pouvons prévoir une évolution si
Rapide et impromptue à l’aspect impalpable
Restant insignifiant, sous la vue avertie
De notre mère Gé par nos faits inavouables.
Alors ne pensons plus que nous régnons en maître
En ayant la culture absolue et exacte
Puisque face à un ogre, cherchant à nous soumettre
Une pluie d’examens nous sommes dénués d’actes.
Laissons donc à chacun le soin d’imaginer
D’innover, de créer, à travers ses talents
Son art de préférence afin d’y enseigner
Ses modes chevronnées pour un apport séant.
Chacun peut exhiber, à l’édifice, sa pierre
Mais en ayant en tête qu’aucune notion prime
Puisque nous l’abordons selon nos caractères
Nos essais personnels qui forgent notre estime.
Tout peut se concevoir et être réfuté
Mais le discernement de toutes entités
Fais foi d’enseignement en un puits éclairé
Pour apprendre d’autrui des aspects obstrués.
L’ignorance est l’échec, et l’échec, notre maître
Alors n’ayons pas peur de rester dans ce bain
De lumière afin de progresser et d’émettre
Notre philosophie sous nos vers d’écrivain.
Voici une version de ce mot si obscur
Qui ne peut exister qu’à travers nos épreuves
Pour que puisse évoluer notre propre culture
Intime et personnelle où résident nos preuves.
L’arcane reste entier, alors n’essayons pas
Pour ces maintes questions d’avoir des solutions
Puisque l’unique clé réside au postulat
De l’interprétation de nos prémonitions.
Oiseau Lyre.
D’offrir un patronyme à tous les éléments
Composant notre vie et qui sans cesse exhume
Un sens bien symbolique et assez évident.
Mais pourquoi avons-nous décider de nommer
L’univers tout entier, à part pour se comprendre ?
Débordant de secrets et non de vérité
Où ce géant bleuté recherche à nous méprendre.
Socrate le disait, la plus grande sagesse
Résidait dans l’idée d’un élan téméraire
D’avouer de ne connaitre, en cette ample largesse
Aucun concept du monde englué de mystères.
Nous pensons être bon en ornithologie
En physique, en histoire, ou en littérature
Mais tout n’est qu’illusoire, une simple alchimie
D’hypothèses brunies, que l’on note, puis rature.
Nous ne pourrons jamais prouver sincèrement
Une véracité globale de nos dires
A un cœur néophyte à qui l’on veut gaiement
Partager nos savoirs sous un simple sourire.
En tort, il ne serait, de ne pouvoir nous croire
Puisque nous nous fondons nous même sur des faits
Enterrés et datés et donc aléatoires
D’êtres qui essayaient d’expliquer ce bleuet.
Nous ne pouvons prévoir une évolution si
Rapide et impromptue à l’aspect impalpable
Restant insignifiant, sous la vue avertie
De notre mère Gé par nos faits inavouables.
Alors ne pensons plus que nous régnons en maître
En ayant la culture absolue et exacte
Puisque face à un ogre, cherchant à nous soumettre
Une pluie d’examens nous sommes dénués d’actes.
Laissons donc à chacun le soin d’imaginer
D’innover, de créer, à travers ses talents
Son art de préférence afin d’y enseigner
Ses modes chevronnées pour un apport séant.
Chacun peut exhiber, à l’édifice, sa pierre
Mais en ayant en tête qu’aucune notion prime
Puisque nous l’abordons selon nos caractères
Nos essais personnels qui forgent notre estime.
Tout peut se concevoir et être réfuté
Mais le discernement de toutes entités
Fais foi d’enseignement en un puits éclairé
Pour apprendre d’autrui des aspects obstrués.
L’ignorance est l’échec, et l’échec, notre maître
Alors n’ayons pas peur de rester dans ce bain
De lumière afin de progresser et d’émettre
Notre philosophie sous nos vers d’écrivain.
Voici une version de ce mot si obscur
Qui ne peut exister qu’à travers nos épreuves
Pour que puisse évoluer notre propre culture
Intime et personnelle où résident nos preuves.
L’arcane reste entier, alors n’essayons pas
Pour ces maintes questions d’avoir des solutions
Puisque l’unique clé réside au postulat
De l’interprétation de nos prémonitions.
Oiseau Lyre.
Fichiers joints
-
77.7 KB Affichages: 154