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L’inconscience
Lorsque ayant l’occasion d’enfin prendre la tête
Et voulant parader à la salle des fêtes
Macron à présider un jour se décida
Doublant des inconnus ne se défendant pas
Le hasard l’élisant très vite il arriva
Devant des précédents et étranges problèmes
Mais voulant présider de façon souveraine
Il choisit des ministres qui aimant le pognon
Évitaient de dire non à toutes ses actions.
La France anesthésiée décela du désordre
La dette exagérée commençait à nous mordre
L’europo-bricolage engendrant des ténèbres
Le trésor national avait un air funèbre,
Et purgeant le trésor très exagérément
On vit l’incompétence dans le gouvernement.
Les ministres dormant dans des instances lasses
La triste politique en devint dégueulasse.
On eut beau modifier les valets du pouvoir
Aucun n’était porteur d’un atome d’espoir
Ils allaient, obéir au présidentiel bruit,
Qui les téléguidant les menait dans la nuit.
Furtif, sans regarder la France en sa détresse
Le chef à l’étranger partit faire des promesses.
De rien en son pays il n’était jamais sûr
Ailleurs il conservait l’illusoire envergure
Mais il restait toujours en dépit de la houle
Accroché au rocher comme le font les moules
Espérant parvenir à l’ultime horizon.
Qui lui ferait cesser sa malédiction.
On prépara alors une histoire farouche
Dont on ne parlerait que le doigts sur la bouche
Afin de revenir au bien de la nation
Corrigeant les erreurs, les malédictions.
On fondit les partis en un creuset propice
Aux comptes retournant vers de sains bénéfices.
Hélas l’ambition étant seule ascendante
Sur le même objectif il n’y eut pas d’entente
Sans souci du pays cherchant sa renaissance
Les partis politiques étaient en concurrence
Et, malgré l’inertie ayant le poids du plomb :
La dette du pays l’entraînait vers le fond.
Des possibilités on fit vite le tour
Il fallait à plusieurs taper sur le tambour
Et risquer une union d’espérance dernière
Quitte a se faire donner du pieds dans le derrière
Alors on magouilla des unions contestables
L’urgence se devant de bien finir la fable.
Allait-on obtenir la force permettant
De pouvoir infléchir le malheur insistant
Qu’importe les couleuvres qu’il fallait avaler
Le pays ne pouvait vers l’abîme dévaler
Alors l’élyséen se sentant solitaire
Voyagea un peu plus s’éloignant de sa terre.
Son avenir soudain fut recouvert d’une ombre
Qui ne sait gouverner mérite la pénombre.
Il eut beau se cacher et fermer ses verrous
Le Coq le condamna à n’être rien du tout .
Lorsque ayant l’occasion d’enfin prendre la tête
Et voulant parader à la salle des fêtes
Macron à présider un jour se décida
Doublant des inconnus ne se défendant pas
Le hasard l’élisant très vite il arriva
Devant des précédents et étranges problèmes
Mais voulant présider de façon souveraine
Il choisit des ministres qui aimant le pognon
Évitaient de dire non à toutes ses actions.
La France anesthésiée décela du désordre
La dette exagérée commençait à nous mordre
L’europo-bricolage engendrant des ténèbres
Le trésor national avait un air funèbre,
Et purgeant le trésor très exagérément
On vit l’incompétence dans le gouvernement.
Les ministres dormant dans des instances lasses
La triste politique en devint dégueulasse.
On eut beau modifier les valets du pouvoir
Aucun n’était porteur d’un atome d’espoir
Ils allaient, obéir au présidentiel bruit,
Qui les téléguidant les menait dans la nuit.
Furtif, sans regarder la France en sa détresse
Le chef à l’étranger partit faire des promesses.
De rien en son pays il n’était jamais sûr
Ailleurs il conservait l’illusoire envergure
Mais il restait toujours en dépit de la houle
Accroché au rocher comme le font les moules
Espérant parvenir à l’ultime horizon.
Qui lui ferait cesser sa malédiction.
On prépara alors une histoire farouche
Dont on ne parlerait que le doigts sur la bouche
Afin de revenir au bien de la nation
Corrigeant les erreurs, les malédictions.
On fondit les partis en un creuset propice
Aux comptes retournant vers de sains bénéfices.
Hélas l’ambition étant seule ascendante
Sur le même objectif il n’y eut pas d’entente
Sans souci du pays cherchant sa renaissance
Les partis politiques étaient en concurrence
Et, malgré l’inertie ayant le poids du plomb :
La dette du pays l’entraînait vers le fond.
Des possibilités on fit vite le tour
Il fallait à plusieurs taper sur le tambour
Et risquer une union d’espérance dernière
Quitte a se faire donner du pieds dans le derrière
Alors on magouilla des unions contestables
L’urgence se devant de bien finir la fable.
Allait-on obtenir la force permettant
De pouvoir infléchir le malheur insistant
Qu’importe les couleuvres qu’il fallait avaler
Le pays ne pouvait vers l’abîme dévaler
Alors l’élyséen se sentant solitaire
Voyagea un peu plus s’éloignant de sa terre.
Son avenir soudain fut recouvert d’une ombre
Qui ne sait gouverner mérite la pénombre.
Il eut beau se cacher et fermer ses verrous
Le Coq le condamna à n’être rien du tout .