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L’Inégalitarisme organisé
Malheureux comme Ulysse, attendant un voyage,
Qui en raison de grèves resta à la maison
Les syndicats voulant pour diverses raisons
Que les retraites fassent l’objet d’un neuf partage.
Ulysse n‘y pouvant rien resta en son village
Il travaillait sans cesse et en toutes saisons
Et pour cette fois là il quittait sa maison
D’un repos rarissime il perdait l’avantage.
Alors il décida étant audacieux
De ne plus travailler autant que ses aïeux
De ne plus faire de blé ce père de la farine
De cesser le labeur au moindre mal aux reins
Quitte à laisser de faim mourir les citadins
Qui devront importer ou mourir de famine.
"On apprend à hurler dit l’autre avec les loups"
Ce sont toujours les mêmes qui en ville défilent
Allant vociférer leurs slogans seuls utiles
Aux labeurs qui jamais ne se font dans la boue
Et quand une bêtise d’une Europe de fous
Affecte l’avenir de récoltes fragiles
L’évidente raison lâchement se défile
La pensée des meneurs n’a plus le moindre atout
Le diable trop souvent fait de la politique
Laissez aux compétents les décisions logiques
Éloignez les ignares des postes importants.
La terre aura toujours des sots à sa surface
Évitez qu’ils décident de choses qui les dépassent
Nul hâbleur politique ne fut fertilisant.
Envoyez quelques temps les élus enchambrés
Labourer moissonner la terre qui les nourrit
Faites les transpirer ils en verront le prix
Le monde politique en sera mieux formé.
Obligez les hâbleurs souvent mal informés
Qui ne font dans les champs que chasser la perdrix
Qui pour les paysans ont souvent du mépris
À dire que la nature ne se peut réformer.
Le citoyen ayant besoin de pertinence
Préfère à dame Europe et son outrecuidance
Les hommes de la terre au labeur en tous temps.
Hélas nous recevons de ceux qui œuvrent guère
Et qui se croient savants des travaux de la terre
Des lois vite bâclées d’élus incompétents.
Malheureux comme Ulysse, attendant un voyage,
Qui en raison de grèves resta à la maison
Les syndicats voulant pour diverses raisons
Que les retraites fassent l’objet d’un neuf partage.
Ulysse n‘y pouvant rien resta en son village
Il travaillait sans cesse et en toutes saisons
Et pour cette fois là il quittait sa maison
D’un repos rarissime il perdait l’avantage.
Alors il décida étant audacieux
De ne plus travailler autant que ses aïeux
De ne plus faire de blé ce père de la farine
De cesser le labeur au moindre mal aux reins
Quitte à laisser de faim mourir les citadins
Qui devront importer ou mourir de famine.
"On apprend à hurler dit l’autre avec les loups"
Ce sont toujours les mêmes qui en ville défilent
Allant vociférer leurs slogans seuls utiles
Aux labeurs qui jamais ne se font dans la boue
Et quand une bêtise d’une Europe de fous
Affecte l’avenir de récoltes fragiles
L’évidente raison lâchement se défile
La pensée des meneurs n’a plus le moindre atout
Le diable trop souvent fait de la politique
Laissez aux compétents les décisions logiques
Éloignez les ignares des postes importants.
La terre aura toujours des sots à sa surface
Évitez qu’ils décident de choses qui les dépassent
Nul hâbleur politique ne fut fertilisant.
Envoyez quelques temps les élus enchambrés
Labourer moissonner la terre qui les nourrit
Faites les transpirer ils en verront le prix
Le monde politique en sera mieux formé.
Obligez les hâbleurs souvent mal informés
Qui ne font dans les champs que chasser la perdrix
Qui pour les paysans ont souvent du mépris
À dire que la nature ne se peut réformer.
Le citoyen ayant besoin de pertinence
Préfère à dame Europe et son outrecuidance
Les hommes de la terre au labeur en tous temps.
Hélas nous recevons de ceux qui œuvrent guère
Et qui se croient savants des travaux de la terre
Des lois vite bâclées d’élus incompétents.