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L’ire,
J'ai l'ire grave, colérique et agacée
Quand de méchants cauchemars perturbent mes nuits
Me réveiller en plein sommeil, peut m'angoisser
Combats nocturnes, je ne souffre pas d'ennui !
Parfois de jolis rêves passent par chez moi
Et ils s'arrêtent sur le seuil de ma maison
Me montrent leurs minois et me mettent en émoi
Entre eux, ils jouent aux marchands des quatre-saisons.
L'esprit vagabonde et il butine la vie
Cueillant le doux nectar, au cœur de jolies fleurs
Que l'on appelle pensées, dressant un pont-levis
Direction le cœur, l'amour ensorceleur.
J'aime la plus belle des femmes, amoureux
Ravi, je garde le plus beau des souvenirs
Car J'ai sur les lèvres, ses baisers langoureux
Et son parfum capiteux, pour me rajeunir.
Il n'y a pas d'âge pour à nouveau vibrer
Le cœur a ses raisons que la raison ignore
Mes mains parcourent le long de son corps cambré
Courbes sensuelles, cela sans garde-corps.
Au lever du matin, quand le soleil rougeoie
Dans ce lit froissé, de nos ébats torrides
Je m'attends à la voir nue, mais je perds ma joie
Et je vois près de moi, un corps sec et aride !
J'ai l'ire grave, colérique et agacée
Quand de méchants cauchemars perturbent mes nuits
Me réveiller en plein sommeil, peut m'angoisser
Combats nocturnes, je ne souffre pas d'ennui !
Parfois de jolis rêves passent par chez moi
Et ils s'arrêtent sur le seuil de ma maison
Me montrent leurs minois et me mettent en émoi
Entre eux, ils jouent aux marchands des quatre-saisons.
L'esprit vagabonde et il butine la vie
Cueillant le doux nectar, au cœur de jolies fleurs
Que l'on appelle pensées, dressant un pont-levis
Direction le cœur, l'amour ensorceleur.
J'aime la plus belle des femmes, amoureux
Ravi, je garde le plus beau des souvenirs
Car J'ai sur les lèvres, ses baisers langoureux
Et son parfum capiteux, pour me rajeunir.
Il n'y a pas d'âge pour à nouveau vibrer
Le cœur a ses raisons que la raison ignore
Mes mains parcourent le long de son corps cambré
Courbes sensuelles, cela sans garde-corps.
Au lever du matin, quand le soleil rougeoie
Dans ce lit froissé, de nos ébats torrides
Je m'attends à la voir nue, mais je perds ma joie
Et je vois près de moi, un corps sec et aride !