Hors ligne
L’oiseau
La roseur du matin estompait les étoiles
Révélant une ombre planer sur les nuages,
Muettement un vol au firmament sauvage
Fendait l’aube fuchsia embrumée dans un voile.
La douceur du matin pardonnait aux étoiles
L’errance de l’oiseau éloigné des rivages,
Son chant à l’aurore dans un ciel sans orage
Fendait l’aube fuchsia embrumée dans son voile.
Sous le jour déployant son doré diaphane
Les échos tamisés par une nuit sans fin
Des oiseaux par le jour réunissant enfin
Leurs élans disparus dans la vague océane
Appelèrent vers le loin une ombre solitaire
Égarée une nuit dans les noirceurs lunaires.
La roseur du matin estompait les étoiles
Révélant une ombre planer sur les nuages,
Muettement un vol au firmament sauvage
Fendait l’aube fuchsia embrumée dans un voile.
La douceur du matin pardonnait aux étoiles
L’errance de l’oiseau éloigné des rivages,
Son chant à l’aurore dans un ciel sans orage
Fendait l’aube fuchsia embrumée dans son voile.
Sous le jour déployant son doré diaphane
Les échos tamisés par une nuit sans fin
Des oiseaux par le jour réunissant enfin
Leurs élans disparus dans la vague océane
Appelèrent vers le loin une ombre solitaire
Égarée une nuit dans les noirceurs lunaires.