Hors ligne
Lucioles
Un ciel sombre accueillait l’opalin crépuscule
Et la lune fuyait dans un lointain silence
Et la terre assombrie revêtue de brillances
Dansait de la venue de joyeux noctambules.
Terre et ciel étoilés de lueurs minuscules
S’agitaient un instant de leur ivre élégance
De leurs valses ambrées, de leur folle abondance
Étoiles impromptues d’un triste crépuscule.
Sous un vent imprévu les lucioles dansantes
Couraient la nuit dorée en étoiles filantes
Dans une nuit noire de petites lanternes.
L’éternelle sombreur recueillait une aurore
Une constellation dans les ténèbres ternes
Royaume éphémère de petits rois en or.
Un ciel sombre accueillait l’opalin crépuscule
Et la lune fuyait dans un lointain silence
Et la terre assombrie revêtue de brillances
Dansait de la venue de joyeux noctambules.
Terre et ciel étoilés de lueurs minuscules
S’agitaient un instant de leur ivre élégance
De leurs valses ambrées, de leur folle abondance
Étoiles impromptues d’un triste crépuscule.
Sous un vent imprévu les lucioles dansantes
Couraient la nuit dorée en étoiles filantes
Dans une nuit noire de petites lanternes.
L’éternelle sombreur recueillait une aurore
Une constellation dans les ténèbres ternes
Royaume éphémère de petits rois en or.