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Quand mon regard se ferme,
mes paupières s’alourdissent.
Je vois une femme aux charmes,
Une beauté qui s'épanouisse.
Dans mon unique rêve,
Qui me hante chaque nuit,
Ne me laissant pas de trêve,
Et dire sans lui je m'ennuie.
Sa démarche majestueuse,
Un visage de bonheur,
Douce telle une religieuse,
Veilleuse de mes heures.
Une rose aux milles éclats,
Qui m'enivre chaque soir,
Quand je plonge dans mon lit plat,
Je hume cet encensoir.
Une âme d'enfant, plein d'esprit,
Que la vie a rendu plus sage,
Honneur que le poète est épris,
La défendant avec rage.
Un samouraï bien brave,
Armé de sa plume fine,
Son sabre aux rîmes graves,
A ses ordres se confine.
Je prends alors une place,
Non loin d'elle, pour admirer,
sa noblesse et sa grâce,
Moi le pêcheur amarré.
Sur les flots de ma bleue,
Ses îles et terres éloignées,
Allumées de milles feux,
Accueillant l'abandonné.
Me voici un ménestrel,
Chantant sa grande beauté,
Mes mots apaisent le mistral,
Adoucissent sa cruauté.
Mes soupirs gonflent mes voiles,
Ma proue caresse ses larmes,
Et l'horizon se dévoile,
A la lueur d'une flamme.
Venue des murs de la cité,
Saluant mon étoile,
Éclairant le néant et opacité,
Mes vers se tissent en voile.
Une couleur de l'arc-en -ciel,
D'une nuée d'étoiles pailleté,
Qui au levé du soleil,
Couvre sa gracieuse majesté.
mes paupières s’alourdissent.
Je vois une femme aux charmes,
Une beauté qui s'épanouisse.
Dans mon unique rêve,
Qui me hante chaque nuit,
Ne me laissant pas de trêve,
Et dire sans lui je m'ennuie.
Sa démarche majestueuse,
Un visage de bonheur,
Douce telle une religieuse,
Veilleuse de mes heures.
Une rose aux milles éclats,
Qui m'enivre chaque soir,
Quand je plonge dans mon lit plat,
Je hume cet encensoir.
Une âme d'enfant, plein d'esprit,
Que la vie a rendu plus sage,
Honneur que le poète est épris,
La défendant avec rage.
Un samouraï bien brave,
Armé de sa plume fine,
Son sabre aux rîmes graves,
A ses ordres se confine.
Je prends alors une place,
Non loin d'elle, pour admirer,
sa noblesse et sa grâce,
Moi le pêcheur amarré.
Sur les flots de ma bleue,
Ses îles et terres éloignées,
Allumées de milles feux,
Accueillant l'abandonné.
Me voici un ménestrel,
Chantant sa grande beauté,
Mes mots apaisent le mistral,
Adoucissent sa cruauté.
Mes soupirs gonflent mes voiles,
Ma proue caresse ses larmes,
Et l'horizon se dévoile,
A la lueur d'une flamme.
Venue des murs de la cité,
Saluant mon étoile,
Éclairant le néant et opacité,
Mes vers se tissent en voile.
Une couleur de l'arc-en -ciel,
D'une nuée d'étoiles pailleté,
Qui au levé du soleil,
Couvre sa gracieuse majesté.