Hors ligne
Marguerite je t’aime
Premiers rayons du jour où s’éveille la vie,
Une fleur s’émoustille au rythme du soleil
Puis, tout prend de l’ampleur et tout nous fait envie,
Voler comme un oiseau, écouter un conseil.
J’ai entendu parler des neiges éternelles,
De plage aux dunes blondes ou bien de sable blanc
Mais rien n’égalera les douces ritournelles
Que m’envoie le coucou dans son premier élan.
La marguerite au pré frétille d’insolence,
Je t’aime, un peu, beaucoup, trois petits tours s’en vont
Puis reviendra un jour pour faire violence
Au cœur de la garrigue où vit l’écrivaillon.
De grâce belle amie, permet que je t’admire
Laisse-moi t’effeuiller, je voudrais faire un vœu
Je l’aime à la folie, dans ses yeux je me mire
Et j’attends son retour pour lui faire un aveu…
Margénye
Septembre 2020.
Premiers rayons du jour où s’éveille la vie,
Une fleur s’émoustille au rythme du soleil
Puis, tout prend de l’ampleur et tout nous fait envie,
Voler comme un oiseau, écouter un conseil.
J’ai entendu parler des neiges éternelles,
De plage aux dunes blondes ou bien de sable blanc
Mais rien n’égalera les douces ritournelles
Que m’envoie le coucou dans son premier élan.
La marguerite au pré frétille d’insolence,
Je t’aime, un peu, beaucoup, trois petits tours s’en vont
Puis reviendra un jour pour faire violence
Au cœur de la garrigue où vit l’écrivaillon.
De grâce belle amie, permet que je t’admire
Laisse-moi t’effeuiller, je voudrais faire un vœu
Je l’aime à la folie, dans ses yeux je me mire
Et j’attends son retour pour lui faire un aveu…
Margénye
Septembre 2020.