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Mauvaise humeur politique à la suite d’une digestion capricieuse !
"Pour grand que soient les rois , ils sont ce que nous sommes
Ils peuvent se tromper comme les autres hommes."
Mais pas du tout mon cher les sots sont infaillibles
Le plus petit élu est un tyran terrible
Tout ce qu’il a promis s’évade de sa tête
Son troupeau d’électeurs est mis aux oubliettes.
À son seul intérêt il consacre du temps
Oubliant que du peuple il est représentant.
Ne trouvant pas idées utiles au populaire
Il jette sur les autres un fiel autoritaire
Et quitte à devenir l’élite du ridicule
Il ment sur les projets que sa folie fabule.
Il a le verbe haut et aimant s’opposer
Il critique sans cesse sans ne rien proposer
Et quand dans le pays se fane sa couronne
C’est au sein de l’Europe que sa verve déconne.
Et tel un matamore voulant montrer ses dents
Il s’en va nain bavard agacer les géants.
Il sent bien que le temps l’ôtera du parcours
Où le pays déplore son désastreux retour
Qu’il ne suffit jamais de jouer au soldat
Auprès de tout puissant n’aimant pas les fadas
Et que semer la merde a une utilité
Que si on a l’espoir d’avoir à récolter.
Qu’il aille donc en retraite au lieu de s’agiter
Maintes calamités s’en verront évitées.
Mais qu’avant son départ il perde l’indécence
D’appauvrir les français et de ruiner la France.
Espérant que l’erreur soit utile aux français
Que d’une récidive on évite l’excès
Préparons par le biais de scrutins raisonnables
Des vantards modérés mais d’actions capables
En ramenant aux urnes ceux qui n’ayant voté
Attendent de retrouver quelques capacités
Mais pourquoi donc Europe est-elle tant bancale
De la mythologie est elle femme fatale?
Qui sont les politiques au cerveau en passoire
Qui en mythologie allèrent chercher l’histoire
De cette Phénicienne qui se nommait Europe
Et qui peut-être avait des instincts de salope
Pour séduire le père Zeus qui poussa des soupirs
Pour la fille d’Agénor qui était roi de Tyr
Car Zeus sous un platane emmène Europe en Crête
Et lui fait sur le champ rapidement sa fête
Il lui bricole Minos, Sarpédon, Rhadamanthe
Des mouflets agités dont l’histoire ne se vante
Ainsi aller chercher d’Europe le vocable
C’était mettre le doigt dans le pas convenable.
Et faire que maints pays avec elle copulent
A drapé les vantards d’un manteau ridicule.
Il était prévisible que devant l’imposture
On verrait pulluler maintes candidatures
Et nous voila munis de sots entretenus
À voler les états de leurs gras revenus
Sans résultats hélas car madame sagesse
Dès qu’elle parle d’Europe se fait botter les fesses
Comme la non dépendance avait juste raison
Il faut se rappeler que la France a dit non
Et qu’en outrepassant le désir populaire
L’état, c’était prévu, s’embourbe dans l’ornière.
"Pour grand que soient les rois , ils sont ce que nous sommes
Ils peuvent se tromper comme les autres hommes."
Mais pas du tout mon cher les sots sont infaillibles
Le plus petit élu est un tyran terrible
Tout ce qu’il a promis s’évade de sa tête
Son troupeau d’électeurs est mis aux oubliettes.
À son seul intérêt il consacre du temps
Oubliant que du peuple il est représentant.
Ne trouvant pas idées utiles au populaire
Il jette sur les autres un fiel autoritaire
Et quitte à devenir l’élite du ridicule
Il ment sur les projets que sa folie fabule.
Il a le verbe haut et aimant s’opposer
Il critique sans cesse sans ne rien proposer
Et quand dans le pays se fane sa couronne
C’est au sein de l’Europe que sa verve déconne.
Et tel un matamore voulant montrer ses dents
Il s’en va nain bavard agacer les géants.
Il sent bien que le temps l’ôtera du parcours
Où le pays déplore son désastreux retour
Qu’il ne suffit jamais de jouer au soldat
Auprès de tout puissant n’aimant pas les fadas
Et que semer la merde a une utilité
Que si on a l’espoir d’avoir à récolter.
Qu’il aille donc en retraite au lieu de s’agiter
Maintes calamités s’en verront évitées.
Mais qu’avant son départ il perde l’indécence
D’appauvrir les français et de ruiner la France.
Espérant que l’erreur soit utile aux français
Que d’une récidive on évite l’excès
Préparons par le biais de scrutins raisonnables
Des vantards modérés mais d’actions capables
En ramenant aux urnes ceux qui n’ayant voté
Attendent de retrouver quelques capacités
Mais pourquoi donc Europe est-elle tant bancale
De la mythologie est elle femme fatale?
Qui sont les politiques au cerveau en passoire
Qui en mythologie allèrent chercher l’histoire
De cette Phénicienne qui se nommait Europe
Et qui peut-être avait des instincts de salope
Pour séduire le père Zeus qui poussa des soupirs
Pour la fille d’Agénor qui était roi de Tyr
Car Zeus sous un platane emmène Europe en Crête
Et lui fait sur le champ rapidement sa fête
Il lui bricole Minos, Sarpédon, Rhadamanthe
Des mouflets agités dont l’histoire ne se vante
Ainsi aller chercher d’Europe le vocable
C’était mettre le doigt dans le pas convenable.
Et faire que maints pays avec elle copulent
A drapé les vantards d’un manteau ridicule.
Il était prévisible que devant l’imposture
On verrait pulluler maintes candidatures
Et nous voila munis de sots entretenus
À voler les états de leurs gras revenus
Sans résultats hélas car madame sagesse
Dès qu’elle parle d’Europe se fait botter les fesses
Comme la non dépendance avait juste raison
Il faut se rappeler que la France a dit non
Et qu’en outrepassant le désir populaire
L’état, c’était prévu, s’embourbe dans l’ornière.
