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à la brasse coulée d'un état sans pouvoir
rimer pour amuser est un plaisant devoir
Mensonge ! Sont-ce les politiques capables de mentir?
"Ce fut pendant l'horreur d'une profonde nuit"
Le peuple s'éveilla criant assez d'ennui
Il nous faut supprimer les partis politiques
Pour éviter les nuls, les sots, antipathiques.
Quelque soit leur couleur ils ne font rien de bon
Et le pays entier en a ras le bonbon
Trouvons des gestionnaires besogneux efficaces
Envoyons au chômage les gueulards qui agacent.
Ils n'ont que mêmes mots en se croyant tribuns
Mais ne comblent jamais du pays les besoins
Chacun veut accéder au pouvoir théorique
Enlisant davantage la triste république
Comme les nuls élus hélas se reproduisent
Des réserves entières nous sont encore promises.
Ne sachant pas compter ils proposent des jeux
Où le peuple perdant à la fin leur en veut.
Sur les misères du temps sans arrêt ils pérorent
Car dans leur sinécure ils se croient les plus forts
Et même sur le sommet d'où l'on devrait tout voir
On les laisse appauvrir le pays sans espoir.
Il faut que cela cesse et que les politiques
Arrêtent leurs discours dépourvus de logique
Sans parader ils doivent sans parti et sans haine
Travailler pour sortir d'une voie incertaine.
Et tous les prétendants n'ayant de résultat
Ne doivent pas revenir nous causer des tracas
S'ils ne sont compétents pour décider, choisir
De les faire durer n'ayons plus le désir.
Car beaucoup de gueulards de nuls sempiternels
Passent bien trop souvent au show télévisuels
Et le Français naïf écoute leurs promesses
Puis voit de son argent le pouvoir qui régresse
Car qu'on le dise ou non tout augmente ou s'impose
La mauvaise gestion est d'état la nécrose
Des charités indues devraient changer de sens
Et donner de l'espoir aux tristes indigences.
La juste charité commence par soi-même
Et il faut être fou pour jouer les mécènes
Pour aider à grand coût excès d'indésirables
Qui ruinent le pays d'aides injustifiables
Il faut le parti-pris de cesser les partis
Qui brassent le néant d'un pays en souci
Et faire provisoire une union efficace
Qui devra réussir ou bien laisser sa place
Car la bêtise énorme est qu'un nullard élu
Reste bien trop longtemps même s'il a déplu
Et il serait prudent qu'il ne perdure point
Si d'être utile à tous il n'a le moindre soin.
Au cas où vous plairait la longue incertitude
Multipliez les nuls qui manquent d'aptitude
Mais cessez de pleurer sur l'état misérable
Ce sont vos votes qui élisent des minables.
rimer pour amuser est un plaisant devoir
Mensonge ! Sont-ce les politiques capables de mentir?
"Ce fut pendant l'horreur d'une profonde nuit"
Le peuple s'éveilla criant assez d'ennui
Il nous faut supprimer les partis politiques
Pour éviter les nuls, les sots, antipathiques.
Quelque soit leur couleur ils ne font rien de bon
Et le pays entier en a ras le bonbon
Trouvons des gestionnaires besogneux efficaces
Envoyons au chômage les gueulards qui agacent.
Ils n'ont que mêmes mots en se croyant tribuns
Mais ne comblent jamais du pays les besoins
Chacun veut accéder au pouvoir théorique
Enlisant davantage la triste république
Comme les nuls élus hélas se reproduisent
Des réserves entières nous sont encore promises.
Ne sachant pas compter ils proposent des jeux
Où le peuple perdant à la fin leur en veut.
Sur les misères du temps sans arrêt ils pérorent
Car dans leur sinécure ils se croient les plus forts
Et même sur le sommet d'où l'on devrait tout voir
On les laisse appauvrir le pays sans espoir.
Il faut que cela cesse et que les politiques
Arrêtent leurs discours dépourvus de logique
Sans parader ils doivent sans parti et sans haine
Travailler pour sortir d'une voie incertaine.
Et tous les prétendants n'ayant de résultat
Ne doivent pas revenir nous causer des tracas
S'ils ne sont compétents pour décider, choisir
De les faire durer n'ayons plus le désir.
Car beaucoup de gueulards de nuls sempiternels
Passent bien trop souvent au show télévisuels
Et le Français naïf écoute leurs promesses
Puis voit de son argent le pouvoir qui régresse
Car qu'on le dise ou non tout augmente ou s'impose
La mauvaise gestion est d'état la nécrose
Des charités indues devraient changer de sens
Et donner de l'espoir aux tristes indigences.
La juste charité commence par soi-même
Et il faut être fou pour jouer les mécènes
Pour aider à grand coût excès d'indésirables
Qui ruinent le pays d'aides injustifiables
Il faut le parti-pris de cesser les partis
Qui brassent le néant d'un pays en souci
Et faire provisoire une union efficace
Qui devra réussir ou bien laisser sa place
Car la bêtise énorme est qu'un nullard élu
Reste bien trop longtemps même s'il a déplu
Et il serait prudent qu'il ne perdure point
Si d'être utile à tous il n'a le moindre soin.
Au cas où vous plairait la longue incertitude
Multipliez les nuls qui manquent d'aptitude
Mais cessez de pleurer sur l'état misérable
Ce sont vos votes qui élisent des minables.