Poème Mon amie Notre-Dame

Je sens son feu sur mes mains
J'en perds à présent mon latin
D'apercevoir ces lances d'eau
Éteindre cette flamme là-haut

Dites moi d'où viens la brèche
J'ai vu s'écrouler la flèche
Ici, c'est mon Île, ma cité
Mon dieu, qu'avez vous donc fait ?

C'était ma maison, ma Cathédrale
Elle brûle telle une torche
Elle me parle, elle a si mal
J'irais bien sonner les cloches

Je vois tomber son clocher
Laissez moi aller le remonter
Je le porterais sur mon dos
Oui, c'est moi, Quasimodo

La Monde prie Notre-Dame
Ainsi que ma pauvre âme
Puis mon auteur Victor Hugo
Sa plume était un joyaux

Ma belle et grande amie
Je te regarde de ton parvis
Tu restes malgré tout jolie
Même si tu as un peu bruni
Et que ton toit est détruit

Tu as traversé des histoires
Ton mur a gardé la mémoire
De tous ces siècles passés
Ton socle est encore sur pied

On va bientôt se retrouver
Ils ont promis de te relever

une belle écriture simple,claire comme j'aime.
le sujet d'actualité , bien sûr une peine de la voir en feu , tout le monde a été choqué, effondré,
merci Nessa

amitiés

Terrible ce qui est arrivé...

Près de 900 ans d'histoire en flammes en quelques heures.

Amitiés

Merci !

Très bien décrit, agréable lecture, merci nessa4647

Bonne journée

Joli message d'espoir; merci Quasimodonessa !! (sourire)

Joli jour Nessa

C'est la première fois que je te lis.
Ton poème est tellement émouvant que je sais quoi ajouter.
Pourtant
là, c'est vraiment touchant et troublant.
L'image est forte !

Sincèrement

Rose ^^

merci