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MON ARDÈCHE
Mon Ardèche se découvre au détour d’un chemin,
En virée au Gerbier ou son cousin le Mézenc.
Clair-obscur d’un sous-bois, découvert au matin.
A la recherche de ceps, framboises et myrtilles,
Au printemps, dans les près au milieu des jonquilles.
Mon Ardèche cours le long du gros ruisseau,
Qui descend en courant du haut du cher plateau,
Là où bât mon cœur, tout près des grands oiseaux.
Puis lorsque survint enfin la vallée, apaisée,
Mon Ardèche devenue coquette, se laisse courtiser.
Mon Ardèche c’est ce village maintenant déserté,
Qui renaît pour trois mois chaque année en été,
C’est ce ciel étoilé, nulle part retrouvé,
Et lorsque revient le beau temps, tout l’hiver espéré,
Dans les bois et les champs c’est l’odeur des genêts
Mon Ardèche se découvre au détour d’un chemin,
En virée au Gerbier ou son cousin le Mézenc.
Clair-obscur d’un sous-bois, découvert au matin.
A la recherche de ceps, framboises et myrtilles,
Au printemps, dans les près au milieu des jonquilles.
Mon Ardèche cours le long du gros ruisseau,
Qui descend en courant du haut du cher plateau,
Là où bât mon cœur, tout près des grands oiseaux.
Puis lorsque survint enfin la vallée, apaisée,
Mon Ardèche devenue coquette, se laisse courtiser.
Mon Ardèche c’est ce village maintenant déserté,
Qui renaît pour trois mois chaque année en été,
C’est ce ciel étoilé, nulle part retrouvé,
Et lorsque revient le beau temps, tout l’hiver espéré,
Dans les bois et les champs c’est l’odeur des genêts