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Mon ami sur le quai de cette gare, je te quitte
Tu as rendu chacun de mes jours plus beaux
Tu as illuminé mes nuits
Autour de nous résonnent les cris de mille amants déchirés
Le destin est meurtrier
Le temps vieillit les âmes frivoles
Mon corps est perclu de douleur
Je ne peux me résoudre à te perdre
J'ai eu tort de penser que tu me passerait la bague au doigt
Le ciel en a décidé ainsi
Notre idyllique n'est qu'un songe éphémère
Ton parfum est ancré dans ma peau
Combien d'âmes en ce lieu hurlent à l'infortune
Mon chagrin se métamorphose en démence
Tu est allé quérir mon cœur, tu ne me l'as point rendu
La rose a une odeur de paradis, mais ses épines arrachent les mains des amoureux
Je ne peux me passer de toi
Je ne peux oublier nos lèvres vermeilles qui se frôlent dans la foule
Ni cette romance que tu m'as écrite à l'encre bleue sur du parchemin
J'entends encore ta voix me dire que je suis une néréide lorsque je me baigne dans l'eau fraîche de la cascade
Ton rire me manques
Mon âme pleure
Enveloppés dans un drap de soie, tu m'as dit adieu
Rien n'est éternel
Le printemps est mort
Nos souvenirs aussi
Mon ami sur le quai de cette gare, je te quitte...
Tu as rendu chacun de mes jours plus beaux
Tu as illuminé mes nuits
Autour de nous résonnent les cris de mille amants déchirés
Le destin est meurtrier
Le temps vieillit les âmes frivoles
Mon corps est perclu de douleur
Je ne peux me résoudre à te perdre
J'ai eu tort de penser que tu me passerait la bague au doigt
Le ciel en a décidé ainsi
Notre idyllique n'est qu'un songe éphémère
Ton parfum est ancré dans ma peau
Combien d'âmes en ce lieu hurlent à l'infortune
Mon chagrin se métamorphose en démence
Tu est allé quérir mon cœur, tu ne me l'as point rendu
La rose a une odeur de paradis, mais ses épines arrachent les mains des amoureux
Je ne peux me passer de toi
Je ne peux oublier nos lèvres vermeilles qui se frôlent dans la foule
Ni cette romance que tu m'as écrite à l'encre bleue sur du parchemin
J'entends encore ta voix me dire que je suis une néréide lorsque je me baigne dans l'eau fraîche de la cascade
Ton rire me manques
Mon âme pleure
Enveloppés dans un drap de soie, tu m'as dit adieu
Rien n'est éternel
Le printemps est mort
Nos souvenirs aussi
Mon ami sur le quai de cette gare, je te quitte...