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Navrance et sortilège !
(Même pas la moyenne en sorcellerie !)
Il était une fois une jeune sorcière
Qui de sa chasteté conservait la barrière
Mais l’âge étant venu Satan lui dit de faire
Pour se diaboliser les péchés nécessaires.
Elle était dans un bois où quelques promeneurs
Cueilleurs de champignons, de fleurs, ou bien chasseurs
Une fois envoûtés montrèrent une vigueur
Formant la sorcière aux sensuelles rigueurs
Elle séduisit bien jusqu’au jour où hélas
Un rallye de balais exigeant de l’audace
La fit choir tout au creux d’ une horrible crevasse
Elle en changea de tête elle devint fadasse
Les promeneurs bien sur évitèrent sa cahute
La beauté lui manquait et donc on le suppute
Elle n’inspira plus, même l’ombre d’un rut
Elle fit donc appel à son chef Belzébuth
Qui lui dit ma très chère vous avez un matou
Faites en un amant par quelques sorts très doux
Vous verrez à l’usage un chat adroit en tout
Et en l’envoûtant bien il sera fou de vous.
La sorcière ravie potassa ses grimoires
Où de sorts sensuels on détaillait l’histoire
Et découvrit la page transformant son chat noir
En jeune homme disposé aux sensuels devoirs
Se mettant en tenue de gourmande érotique
Elle frotta le chat de sa baguette magique
Un jeune homme apparut apollon magnifique
Qui rendit la sorcière aussitôt hystérique.
Mais elle parut déçue aucune dilatation
Du jeune homme révélait la moindre passion
Pourtant rien qu’au repos attirant l’attention
Il laissait espérer quelques dispositions.
Faire du chat un bel homme est une œuvre bien dure
Vous voir peu disposé chiffonne ma nature
Est -ce un sort incomplet ou ma mauvaise allure
Qui empêche l’organe de prendre juste mesure.
Bêtasse de sorcière au cerveau un peu mou
Si vous vouliez madame qu’au coït je prenne goût
Il fallait me choyer lorsque j’étais matou
Vous me fîtes couper, eh bien tant pis pour vous !
(Même pas la moyenne en sorcellerie !)
Il était une fois une jeune sorcière
Qui de sa chasteté conservait la barrière
Mais l’âge étant venu Satan lui dit de faire
Pour se diaboliser les péchés nécessaires.
Elle était dans un bois où quelques promeneurs
Cueilleurs de champignons, de fleurs, ou bien chasseurs
Une fois envoûtés montrèrent une vigueur
Formant la sorcière aux sensuelles rigueurs
Elle séduisit bien jusqu’au jour où hélas
Un rallye de balais exigeant de l’audace
La fit choir tout au creux d’ une horrible crevasse
Elle en changea de tête elle devint fadasse
Les promeneurs bien sur évitèrent sa cahute
La beauté lui manquait et donc on le suppute
Elle n’inspira plus, même l’ombre d’un rut
Elle fit donc appel à son chef Belzébuth
Qui lui dit ma très chère vous avez un matou
Faites en un amant par quelques sorts très doux
Vous verrez à l’usage un chat adroit en tout
Et en l’envoûtant bien il sera fou de vous.
La sorcière ravie potassa ses grimoires
Où de sorts sensuels on détaillait l’histoire
Et découvrit la page transformant son chat noir
En jeune homme disposé aux sensuels devoirs
Se mettant en tenue de gourmande érotique
Elle frotta le chat de sa baguette magique
Un jeune homme apparut apollon magnifique
Qui rendit la sorcière aussitôt hystérique.
Mais elle parut déçue aucune dilatation
Du jeune homme révélait la moindre passion
Pourtant rien qu’au repos attirant l’attention
Il laissait espérer quelques dispositions.
Faire du chat un bel homme est une œuvre bien dure
Vous voir peu disposé chiffonne ma nature
Est -ce un sort incomplet ou ma mauvaise allure
Qui empêche l’organe de prendre juste mesure.
Bêtasse de sorcière au cerveau un peu mou
Si vous vouliez madame qu’au coït je prenne goût
Il fallait me choyer lorsque j’étais matou
Vous me fîtes couper, eh bien tant pis pour vous !
