Hors ligne
Nos jeunes années
Confiture sur le pain blanc
Du chocolat à nos tartines.
Dans mes cheveux un long ruban,
Mes pieds nus dans les ballerines.
C’était le temps où insouciants,
A l’âge doux frisant l’insulte,
Sans le savoir et confiants
Allions tout droit vers le tumulte.
Nos joies étaient simples et pourtant,
Cherchions déjà les rêves intimes ;
Pourquoi faut-il que les printemps,
Ne trouvent pas vraiment de rimes ?
Me souvenant de ces années,
Mes pensées sont bien nostalgiques ;
Sur les feuilles un peu fanées,
D’un cahier sûr les mots magiques
Le poète est venu chanter !
« Nul ne guérit de son enfance »
Margénye
Août 2011.
Confiture sur le pain blanc
Du chocolat à nos tartines.
Dans mes cheveux un long ruban,
Mes pieds nus dans les ballerines.
C’était le temps où insouciants,
A l’âge doux frisant l’insulte,
Sans le savoir et confiants
Allions tout droit vers le tumulte.
Nos joies étaient simples et pourtant,
Cherchions déjà les rêves intimes ;
Pourquoi faut-il que les printemps,
Ne trouvent pas vraiment de rimes ?
Me souvenant de ces années,
Mes pensées sont bien nostalgiques ;
Sur les feuilles un peu fanées,
D’un cahier sûr les mots magiques
Le poète est venu chanter !
« Nul ne guérit de son enfance »
Margénye
Août 2011.