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À peine arrivé... que je dois demain repartir
Les jours, se sont vite passés...
Le temps, comme le vent s'est écoulé
Je dois encore te laisser...
Je retournerai à mes froides nuits
En pensant à quand je vais revenir...
Je retournerai encore
Même si mon âme, d’amertume, se tord
Vivre au milieu de ma solitude
Entouré d’un silence de morts
Sans personne à qui parler
Si ce n’est à mes soupirs le long de mes nuits
Refusant de s’achever...
Je retournerai à ce brouillard épais...
Et à ces gelées d’enfer...
Je retournerai à mon lit glacé...
Où, de ma nostalgie, je ne peux me défaire
Ma guitare appuyée au mur
Attend que je lui change les cordes
Un repas froid dans un sachet
Attend mon appétit se décide
C'est cette souris, grattant sous mon lit,
Toute la nuit
Qui sera mon seul compagnon.
Et toi bougie qui se consume
Si bientôt ton supplice se termine
Moi ma peine ne fait que commencer.
(Un essai de traduction du kabyle)
Pour vous mes amis.
Les jours, se sont vite passés...
Le temps, comme le vent s'est écoulé
Je dois encore te laisser...
Je retournerai à mes froides nuits
En pensant à quand je vais revenir...
Je retournerai encore
Même si mon âme, d’amertume, se tord
Vivre au milieu de ma solitude
Entouré d’un silence de morts
Sans personne à qui parler
Si ce n’est à mes soupirs le long de mes nuits
Refusant de s’achever...
Je retournerai à ce brouillard épais...
Et à ces gelées d’enfer...
Je retournerai à mon lit glacé...
Où, de ma nostalgie, je ne peux me défaire
Ma guitare appuyée au mur
Attend que je lui change les cordes
Un repas froid dans un sachet
Attend mon appétit se décide
C'est cette souris, grattant sous mon lit,
Toute la nuit
Qui sera mon seul compagnon.
Et toi bougie qui se consume
Si bientôt ton supplice se termine
Moi ma peine ne fait que commencer.
(Un essai de traduction du kabyle)
Pour vous mes amis.
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