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Πάντα ῥεῖ (Tout passe! D’accord mais qu’il passe vite )
À voter comme des sots la sottise domine
Et dame république a une triste mine,
Mais élu par erreur ou par publicité
Le nul proliférant vend sa perversité.
Il eut fallu sans doute un contrôle sévère
Des menteurs prétendant voyager vers Cythère
Et faire des comptes justes sans pondre des sottises
Qui menèrent la France tout droit sur la banquise.
Or la loi n’ayant pas juste pondération
Permet de candidats la prolifération
Et comme un désastreux peut contaminer tout
L’animal politique est malade chez nous.
La parfaite raison fuit toute extrémité
Et veut que l’on soit bête * avec sobriété
Molière le disait le présent le confirme
L’excès de politique a fait un peuple infirme.
Et comme de nos jours on ne décapite plus
Le dangereux pullule et même il est élu.
Il faut c’est évident changer de stratégie
Élire quelques lumières et non plus des bougies.
Placer au juste endroit ceux qui n’ont qu’un souci
Gérer tout en restant dans la démocratie
S’il faut serrer des vis il faudra bien le faire
En ré-équilibrant notre état ponctionnaire.
En cherchant tout d’abord les fuites inadmissibles
Issues d’une gestion des plus répréhensibles
Bref bien des citoyens devront refaire l’histoire
Sans suivre les promesses d’incapables notoires
Exclure les dépendances qui ne sont nécessaires
Supprimer les largesses aux nombreux ponctionnaires
Ne point encourager l’altruiste coupable
Qui pille notre état aux dettes impensables
En limitant tous ceux qui usant d’artifices
Ne savent que créer de nouveaux maléfices
On devrait aboutir à l’ancienne balance
Dépourvue des fléaux qui affecte la France.
* l’exacte citation de monsieur Poquelin est :
« La parfaite raison fuit toute extrémité
Et veut que l’on soit sage avec sobriété »
À voter comme des sots la sottise domine
Et dame république a une triste mine,
Mais élu par erreur ou par publicité
Le nul proliférant vend sa perversité.
Il eut fallu sans doute un contrôle sévère
Des menteurs prétendant voyager vers Cythère
Et faire des comptes justes sans pondre des sottises
Qui menèrent la France tout droit sur la banquise.
Or la loi n’ayant pas juste pondération
Permet de candidats la prolifération
Et comme un désastreux peut contaminer tout
L’animal politique est malade chez nous.
La parfaite raison fuit toute extrémité
Et veut que l’on soit bête * avec sobriété
Molière le disait le présent le confirme
L’excès de politique a fait un peuple infirme.
Et comme de nos jours on ne décapite plus
Le dangereux pullule et même il est élu.
Il faut c’est évident changer de stratégie
Élire quelques lumières et non plus des bougies.
Placer au juste endroit ceux qui n’ont qu’un souci
Gérer tout en restant dans la démocratie
S’il faut serrer des vis il faudra bien le faire
En ré-équilibrant notre état ponctionnaire.
En cherchant tout d’abord les fuites inadmissibles
Issues d’une gestion des plus répréhensibles
Bref bien des citoyens devront refaire l’histoire
Sans suivre les promesses d’incapables notoires
Exclure les dépendances qui ne sont nécessaires
Supprimer les largesses aux nombreux ponctionnaires
Ne point encourager l’altruiste coupable
Qui pille notre état aux dettes impensables
En limitant tous ceux qui usant d’artifices
Ne savent que créer de nouveaux maléfices
On devrait aboutir à l’ancienne balance
Dépourvue des fléaux qui affecte la France.
* l’exacte citation de monsieur Poquelin est :
« La parfaite raison fuit toute extrémité
Et veut que l’on soit sage avec sobriété »
