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- LE KREMLIN BICETRE
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Je ne veux pas revoir ses yeux
Sa bouche, ses lèvres, son corps
Eloignez - là de moi mon Dieu !
Pour elle, j’avais choisi la mort.
Je ne veux pas entendre sa voix,
Par pitié, au loin chassez- là.
Mon cœur est aujourd’hui de bois
Je veux fuir ses mains et ses bras.
L’étage du -dessous, est pour moi,
Illico transférez mon âme
En enfer ce sera ma croix.
J’ai plus peur d’elle que des flammes.
Elle a eu son pardon tant mieux,
Sa place au paradis tant pis.
J’étais si bien sans elle, mon Dieu,
Pour aller en Enfer, je prie.
Mes anges ! Prenez pitié du frère,
Enveloppez- moi de vos ailes,
Laissez -tomber mon corps à terre,
Je ne veux plus être avec elle.
J’ai peur de l’aimer à nouveau,
Sombrer à l’éclat de ses yeux,
De céder à son corps si beau,
Qu’elle réchauffe mon cœur au feu.
J’ai peur de lui dire que je l’aime,
Que j’avais mis un voile opaque,
Lors de ce triste matin blême,
Je m’en souviens c’était à Pâques.
Mes anges, ne lâchez – plus mon corps
J’ai entendu sa voix, pitié !
Je veux le paradis encore,
Même si le diable vient d’arriver…
Mes anges, ayez pitié d’une âme,
Qui vient de retrouver le feu.
Et que personne ne me blâme
Ma perdition est mon seul vœu.
Sa bouche, ses lèvres, son corps
Eloignez - là de moi mon Dieu !
Pour elle, j’avais choisi la mort.
Je ne veux pas entendre sa voix,
Par pitié, au loin chassez- là.
Mon cœur est aujourd’hui de bois
Je veux fuir ses mains et ses bras.
L’étage du -dessous, est pour moi,
Illico transférez mon âme
En enfer ce sera ma croix.
J’ai plus peur d’elle que des flammes.
Elle a eu son pardon tant mieux,
Sa place au paradis tant pis.
J’étais si bien sans elle, mon Dieu,
Pour aller en Enfer, je prie.
Mes anges ! Prenez pitié du frère,
Enveloppez- moi de vos ailes,
Laissez -tomber mon corps à terre,
Je ne veux plus être avec elle.
J’ai peur de l’aimer à nouveau,
Sombrer à l’éclat de ses yeux,
De céder à son corps si beau,
Qu’elle réchauffe mon cœur au feu.
J’ai peur de lui dire que je l’aime,
Que j’avais mis un voile opaque,
Lors de ce triste matin blême,
Je m’en souviens c’était à Pâques.
Mes anges, ne lâchez – plus mon corps
J’ai entendu sa voix, pitié !
Je veux le paradis encore,
Même si le diable vient d’arriver…
Mes anges, ayez pitié d’une âme,
Qui vient de retrouver le feu.
Et que personne ne me blâme
Ma perdition est mon seul vœu.