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Histoire de parfums
L’orthographe des parfums a été respectée donc pas d’accord ni de conjugaison ..... ils existent et sont soulignés
Je dédie ces lignes à toutes celles qui se parfument et aux autres aussi bien sur
Magie d’un soir d’orient
La sublime Shéhérazade, son grand amour, et l’air du désert marocain, manquaient à Chergui, il déambulait, dans les rues de Paris, recroquevillé, sous le vent, d’un matin d’orage, ce climat ne parvenait pas a dissiper, sa mélancolie.
Comme une Obsession, Jour et nuit, il se remémorait, les Heure exquise, de cette Nuit étoilée quand dans les Jardin romantique, du Minaret, la câline, Shéhérazade, lui, avait dit, «Parlez moi d’amour», le Feu de ses Baiser volé, et l’empreinte de ses Karess, brûlaient encore sa peau d’ Ebène, il se souvenait aussi de la Promesse faite à sa Rose d’Arabie: «si Je reviens, de cet exil forcé je vous épouse»……..
Ce Soir de lune Imprévu avait semé le Trouble dans le cœur du jeune Touareg, son Scenario d’Evasion parisienne, prenait des Allure de fuite, si cette Rumeur parvenait aux oreilles de son ami Djedi, l’émir de Byzance, il n’échapperait pas au Duel, car Lui aussi aimait A la folie cette Farouche Amazone des sables, l’Homme avait du Caractère et Chergui, craignait que sa Réaction, ne soit Fatale à son Idylle ……
Shéhérazade, avait besoin de sa Présence, s’armant de courage, il revint donc sur ses Terre, sa Muse, l’Y attendait, elle lui confia, qu’elle avait avoué à Djedi, l’Amour Absolu qu’Elle vouait a son Bel ami, le Touareg…….
Victoria
L’orthographe des parfums a été respectée donc pas d’accord ni de conjugaison ..... ils existent et sont soulignés
Je dédie ces lignes à toutes celles qui se parfument et aux autres aussi bien sur
Magie d’un soir d’orient
La sublime Shéhérazade, son grand amour, et l’air du désert marocain, manquaient à Chergui, il déambulait, dans les rues de Paris, recroquevillé, sous le vent, d’un matin d’orage, ce climat ne parvenait pas a dissiper, sa mélancolie.
Comme une Obsession, Jour et nuit, il se remémorait, les Heure exquise, de cette Nuit étoilée quand dans les Jardin romantique, du Minaret, la câline, Shéhérazade, lui, avait dit, «Parlez moi d’amour», le Feu de ses Baiser volé, et l’empreinte de ses Karess, brûlaient encore sa peau d’ Ebène, il se souvenait aussi de la Promesse faite à sa Rose d’Arabie: «si Je reviens, de cet exil forcé je vous épouse»……..
Ce Soir de lune Imprévu avait semé le Trouble dans le cœur du jeune Touareg, son Scenario d’Evasion parisienne, prenait des Allure de fuite, si cette Rumeur parvenait aux oreilles de son ami Djedi, l’émir de Byzance, il n’échapperait pas au Duel, car Lui aussi aimait A la folie cette Farouche Amazone des sables, l’Homme avait du Caractère et Chergui, craignait que sa Réaction, ne soit Fatale à son Idylle ……
Shéhérazade, avait besoin de sa Présence, s’armant de courage, il revint donc sur ses Terre, sa Muse, l’Y attendait, elle lui confia, qu’elle avait avoué à Djedi, l’Amour Absolu qu’Elle vouait a son Bel ami, le Touareg…….
Victoria
