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Triste triste est l’écrit d’un cœur qui prend la plume
Dur c’est dur de prier puisque j’en suis indigne
Allo allo quelqu’un m’entend ?
Je ne dors plus et ce matin le soleil ne s’est pas levé
Je suis si peinée, on dit que l’amour a fané
Mon premier baiser, c’est l’affliction qui me l’a donnée
Dos droit, yeux baissés, docile face à l’écran
Je sais que les grands nous mentent. Je sais que s’il faut périr c’est nous qui y passerons en premier.
Les marginaux, la peau du corps, les rêveurs désespérés.
Et il pleuvra, oui il pleuvra, pour camoufler l’odeur de leurs horreurs. Trop de mensonges baignent dans la vérité. Je finirai noyée comme un insecte sous l’averse, sans chemins de traverses, ni désirs qui m’apaisent.
Tempérament angoissé, belliqueux, je suis lassée, pas heureuse…
Comment faire face à mon cœur qui se courbe
Que suis-je ? Qui suis-je ? Que faire ? Peut-être bien qu’au fond je suis comme eux
Pire qu’eux
Dur c’est dur de prier puisque j’en suis indigne
Allo allo quelqu’un m’entend ?
Je ne dors plus et ce matin le soleil ne s’est pas levé
Je suis si peinée, on dit que l’amour a fané
Mon premier baiser, c’est l’affliction qui me l’a donnée
Dos droit, yeux baissés, docile face à l’écran
Je sais que les grands nous mentent. Je sais que s’il faut périr c’est nous qui y passerons en premier.
Les marginaux, la peau du corps, les rêveurs désespérés.
Et il pleuvra, oui il pleuvra, pour camoufler l’odeur de leurs horreurs. Trop de mensonges baignent dans la vérité. Je finirai noyée comme un insecte sous l’averse, sans chemins de traverses, ni désirs qui m’apaisent.
Tempérament angoissé, belliqueux, je suis lassée, pas heureuse…
Comment faire face à mon cœur qui se courbe
Que suis-je ? Qui suis-je ? Que faire ? Peut-être bien qu’au fond je suis comme eux
Pire qu’eux
