Hors ligne
À toi je pense
quand le vide vocifère
dans les curieux déliés
de mes petits mots
Aucun n'est assez juste
Auncun n'est assez fort
mais tous puissamment désirés
Mon coeur est un oiseau
dans tes mains de mystère
que perfuse une encre tumultueuse
Au moindre rayon d'aube
j'égrène des voeux secrets
comme des perles de rosaire
glissant sur le doux vélin