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Po-li-ti-quons comme la lune!
«Et à chaque élections les mouches changent d’âne!» (un maire de village)
«Comme l’andouillette la politique peut sentir un peu la merde mais pas trop»
(Édouard Herriot)
«Celui qui gouverne le mieux est celui qui gouverne le moins» (Lao-Tseu)
Imaginez qu’un jour un peuple auquel on ment
Se fasse manipuler par le flux médiatique
Qu’on lui vende un futur où tout serait magique
Grâce à un candidat s’extrayant du néant.
Dépourvu des savoirs touchant la politique
Mais ayant des idées et un joli costard
Le prétendant vendant à Marianne des égards
Viendrait poser con cul sur la chaise magique.
Car de la présidence le siège rend possible
De toutes ignorances les essais malheureux
On y a vu des sots même des paresseux
Sans le moindre examen devenir admissibles.
Que faire pour éviter le retour d’un nullard
Pour que ne soit élue qu’une ample compétence
Évitant la finale qui gâche l’existence
Car le peuple trompé ne le voit que trop tard
Un énarque verbeux sanglé dans son costard
S’il a dans son discours promesse d’abondance
Montre en sa politique excès d’inconsistance
Au point que l’on attend vivement son départ.
Le pays sous sa coupe devient vite frondeur
Et la ruine s’en vient ronger tous les pécules
L’excès de tolérance est un mal ridicule
Faisant pâtir l’état d’un mauvais décideur
De ces complicités qui vinrent le soutenir
Il faut mettre en mémoire les habiles combines
Les malins dont le fric hors de France se débine
Œuvrent toujours dans l’ombre nul ne les voit venir.
La presse prenant le vent, aisément manipule
Les gens que les média aiment désorienter
Elle vend des mensonges en sachant insister
Car ces privilégiés savent être funambules.
Alors je vous en prie si le choix à nouveau
Est entre un âne , un sot, ou bien une bourrique
Votez blanc c’est le choix normal et stratégique
Qui ne conduira pas notre état au tombeau.
Imaginez la chose :un vote insuffisant
Prouvant que l’on refuse la triste incompétence
Serait de démocrates la plus saine sentence
Tolérant seulement les choix intéressants
Il faudrait donc trouver un candidat valable
Qui fasse évoluer la loi sur les scrutins
Afin d’éliminer sots et divers fretins
Hâbleurs à la télé mais souvent incapables
Lors si trop de votants choisissaient la blancheur
Et que la feuille vierge était majoritaire
Tout les beaux candidats seraient démissionnaires
D’une liste nouvelle viendrait quelques fraîcheur
Et puis tels des élevés dont on suit les efforts
Le contrôle continue du pouvoir dans la place
Permettrait de juger le travail efficace
De tous ces gens à qui on confie notre sort..
Po-li-ti-quons comme la lune!
«Et à chaque élections les mouches changent d’âne!» (un maire de village)
«Comme l’andouillette la politique peut sentir un peu la merde mais pas trop»
(Édouard Herriot)
«Celui qui gouverne le mieux est celui qui gouverne me moins» (Lao-Tseu)
Imaginez qu’un jour un peuple auquel on ment
Se fasse manipuler par le flux médiatique
Qu’on lui vende un futur où tout serait magique
Grâce à un candidat s’extrayant du néant.
Dépourvu des savoirs touchant la politique
Mais ayant des idées et un joli costard
Le prétendant vendant à Marianne des égards
Viendrait poser con cul sur la chaise magique.
Car de la présidence le siège rend possible
De toutes ignorances les essais malheureux
On y a vu des sots même des paresseux
Sans le moindre examen devenir admissible.
Que faire pour éviter le retour d’un nullard
Pour que ne soit élue qu’une ample compétence
Évitant la finale qui gâche l’existence
Car le peuple trompé ne le voit que trop tard
Un énarque verbeux sanglé dans son costard
S’il a dans son discours promesse d’abondance
Montre en sa politique excès d’inconsistance
Au point que l’on attend vivement son départ.
Le pays sous sa coupe devient vite frondeur
Et la ruine s’en vient ronger tous les pécules
L’excès de tolérance est un mal ridicule
Faisant pâtir l’état d’un mauvais décideur
De ces complicités qui vinrent le soutenir
Il faut mettre en mémoire les habiles combines
Les malins dont le fric hors de France se débine
Œuvrent toujours dans l’ombre nul ne les voit venir.
La presse sentant le vent, aisément manipule
Les gens que les media aiment désorienter
Elle vend des mensonges en sachant insister
Car ces privilégiés savent être funambules.
Alors je vous en prie si le choix à nouveau
Est entre un âne , un sot, ou bien une bourrique
Votez blanc c’est le choix normal et stratégique
Qui ne conduira pas notre état au tombeau.
Imaginez la chose :un vote insuffisant
Prouvant que l’on refuse la triste incompétence
Serait des démocrates la plus saine sentence
Tolérant seulement les choix intéressants
Il faudrait donc trouver un candidat valable
Qui fasse évoluer la loi sur les scrutins
Afin d’éliminer sots et divers fretins
Hâbleurs à la télé mais souvent incapables
Lors si trop de votants choisissaient la blancheur
Et que la feuille vierge était majoritaire
Le tout des candidats serait démissionnaires
D’une liste nouvelle viendrait quelques fraîcheur
Et puis tels des élevés dont on suit les efforts
Le contrôle continue du pouvoir dans la place
Permettrait de juger le travail efficace
De tous ces gens à qui on confie notre sort..
Po-li-ti-quons comme la lune!
«Et à chaque élections les mouches changent d’âne!» (un maire de village)
«Comme l’andouillette la politique peut sentir un peu la merde mais pas trop»
(Édouard Herriot)
«Celui qui gouverne le mieux est celui qui gouverne me moins» (Lao-Tseu)
Imaginez qu’un jour un peuple auquel on ment
Se fasse manipuler par le flux médiatique
Qu’on lui vende un futur où tout serait magique
Grâce à un candidat s’extrayant du néant.
Dépourvu des savoirs touchant la politique
Mais ayant des idées et un joli costard
Le prétendant vendant à Marianne des égards
Viendrait poser con cul sur la chaise magique.
Car de la présidence le siège rend possible
De toutes ignorances les essais malheureux
On y a vu des sots même des paresseux
Sans le moindre examen devenir admissible.
Que faire pour éviter le retour d’un nullard
Pour que ne soit élue qu’une ample compétence
Évitant la finale qui gâche l’existence
Car le peuple trompé ne le voit que trop tard
Un énarque verbeux sanglé dans son costard
S’il a dans son discours promesse d’abondance
Montre en sa politique excès d’inconsistance
Au point que l’on attend vivement son départ.
Le pays sous sa coupe devient vite frondeur
Et la ruine s’en vient ronger tous les pécules
L’excès de tolérance est un mal ridicule
Faisant pâtir l’état d’un mauvais décideur
De ces complicités qui vinrent le soutenir
Il faut mettre en mémoire les habiles combines
Les malins dont le fric hors de France se débine
Œuvrent toujours dans l’ombre nul ne les voit venir.
La presse sentant le vent, aisément manipule
Les gens que les media aiment désorienter
Elle vend des mensonges en sachant insister
Car ces privilégiés savent être funambules.
Alors je vous en prie si le choix à nouveau
Est entre un âne , un sot, ou bien une bourrique
Votez blanc c’est le choix normal et stratégique
Qui ne conduira pas notre état au tombeau.
Imaginez la chose :un vote insuffisant
Prouvant que l’on refuse la triste incompétence
Serait des démocrates la plus saine sentence
Tolérant seulement les choix intéressants
Il faudrait donc trouver un candidat valable
Qui fasse évoluer la loi sur les scrutins
Afin d’éliminer sots et divers fretins
Hâbleurs à la télé mais souvent incapables
Lors si trop de votants choisissaient la blancheur
Et que la feuille vierge était majoritaire
Le tout des candidats serait démissionnaires
D’une liste nouvelle viendrait quelques fraîcheur
Et puis tels des élevés dont on suit les efforts
Le contrôle continue du pouvoir dans la place
Permettrait de juger le travail efficace
De tous ces gens à qui on confie notre sort..
«Et à chaque élections les mouches changent d’âne!» (un maire de village)
«Comme l’andouillette la politique peut sentir un peu la merde mais pas trop»
(Édouard Herriot)
«Celui qui gouverne le mieux est celui qui gouverne le moins» (Lao-Tseu)
Imaginez qu’un jour un peuple auquel on ment
Se fasse manipuler par le flux médiatique
Qu’on lui vende un futur où tout serait magique
Grâce à un candidat s’extrayant du néant.
Dépourvu des savoirs touchant la politique
Mais ayant des idées et un joli costard
Le prétendant vendant à Marianne des égards
Viendrait poser con cul sur la chaise magique.
Car de la présidence le siège rend possible
De toutes ignorances les essais malheureux
On y a vu des sots même des paresseux
Sans le moindre examen devenir admissibles.
Que faire pour éviter le retour d’un nullard
Pour que ne soit élue qu’une ample compétence
Évitant la finale qui gâche l’existence
Car le peuple trompé ne le voit que trop tard
Un énarque verbeux sanglé dans son costard
S’il a dans son discours promesse d’abondance
Montre en sa politique excès d’inconsistance
Au point que l’on attend vivement son départ.
Le pays sous sa coupe devient vite frondeur
Et la ruine s’en vient ronger tous les pécules
L’excès de tolérance est un mal ridicule
Faisant pâtir l’état d’un mauvais décideur
De ces complicités qui vinrent le soutenir
Il faut mettre en mémoire les habiles combines
Les malins dont le fric hors de France se débine
Œuvrent toujours dans l’ombre nul ne les voit venir.
La presse prenant le vent, aisément manipule
Les gens que les média aiment désorienter
Elle vend des mensonges en sachant insister
Car ces privilégiés savent être funambules.
Alors je vous en prie si le choix à nouveau
Est entre un âne , un sot, ou bien une bourrique
Votez blanc c’est le choix normal et stratégique
Qui ne conduira pas notre état au tombeau.
Imaginez la chose :un vote insuffisant
Prouvant que l’on refuse la triste incompétence
Serait de démocrates la plus saine sentence
Tolérant seulement les choix intéressants
Il faudrait donc trouver un candidat valable
Qui fasse évoluer la loi sur les scrutins
Afin d’éliminer sots et divers fretins
Hâbleurs à la télé mais souvent incapables
Lors si trop de votants choisissaient la blancheur
Et que la feuille vierge était majoritaire
Tout les beaux candidats seraient démissionnaires
D’une liste nouvelle viendrait quelques fraîcheur
Et puis tels des élevés dont on suit les efforts
Le contrôle continue du pouvoir dans la place
Permettrait de juger le travail efficace
De tous ces gens à qui on confie notre sort..
Po-li-ti-quons comme la lune!
«Et à chaque élections les mouches changent d’âne!» (un maire de village)
«Comme l’andouillette la politique peut sentir un peu la merde mais pas trop»
(Édouard Herriot)
«Celui qui gouverne le mieux est celui qui gouverne me moins» (Lao-Tseu)
Imaginez qu’un jour un peuple auquel on ment
Se fasse manipuler par le flux médiatique
Qu’on lui vende un futur où tout serait magique
Grâce à un candidat s’extrayant du néant.
Dépourvu des savoirs touchant la politique
Mais ayant des idées et un joli costard
Le prétendant vendant à Marianne des égards
Viendrait poser con cul sur la chaise magique.
Car de la présidence le siège rend possible
De toutes ignorances les essais malheureux
On y a vu des sots même des paresseux
Sans le moindre examen devenir admissible.
Que faire pour éviter le retour d’un nullard
Pour que ne soit élue qu’une ample compétence
Évitant la finale qui gâche l’existence
Car le peuple trompé ne le voit que trop tard
Un énarque verbeux sanglé dans son costard
S’il a dans son discours promesse d’abondance
Montre en sa politique excès d’inconsistance
Au point que l’on attend vivement son départ.
Le pays sous sa coupe devient vite frondeur
Et la ruine s’en vient ronger tous les pécules
L’excès de tolérance est un mal ridicule
Faisant pâtir l’état d’un mauvais décideur
De ces complicités qui vinrent le soutenir
Il faut mettre en mémoire les habiles combines
Les malins dont le fric hors de France se débine
Œuvrent toujours dans l’ombre nul ne les voit venir.
La presse sentant le vent, aisément manipule
Les gens que les media aiment désorienter
Elle vend des mensonges en sachant insister
Car ces privilégiés savent être funambules.
Alors je vous en prie si le choix à nouveau
Est entre un âne , un sot, ou bien une bourrique
Votez blanc c’est le choix normal et stratégique
Qui ne conduira pas notre état au tombeau.
Imaginez la chose :un vote insuffisant
Prouvant que l’on refuse la triste incompétence
Serait des démocrates la plus saine sentence
Tolérant seulement les choix intéressants
Il faudrait donc trouver un candidat valable
Qui fasse évoluer la loi sur les scrutins
Afin d’éliminer sots et divers fretins
Hâbleurs à la télé mais souvent incapables
Lors si trop de votants choisissaient la blancheur
Et que la feuille vierge était majoritaire
Le tout des candidats serait démissionnaires
D’une liste nouvelle viendrait quelques fraîcheur
Et puis tels des élevés dont on suit les efforts
Le contrôle continue du pouvoir dans la place
Permettrait de juger le travail efficace
De tous ces gens à qui on confie notre sort..
Po-li-ti-quons comme la lune!
«Et à chaque élections les mouches changent d’âne!» (un maire de village)
«Comme l’andouillette la politique peut sentir un peu la merde mais pas trop»
(Édouard Herriot)
«Celui qui gouverne le mieux est celui qui gouverne me moins» (Lao-Tseu)
Imaginez qu’un jour un peuple auquel on ment
Se fasse manipuler par le flux médiatique
Qu’on lui vende un futur où tout serait magique
Grâce à un candidat s’extrayant du néant.
Dépourvu des savoirs touchant la politique
Mais ayant des idées et un joli costard
Le prétendant vendant à Marianne des égards
Viendrait poser con cul sur la chaise magique.
Car de la présidence le siège rend possible
De toutes ignorances les essais malheureux
On y a vu des sots même des paresseux
Sans le moindre examen devenir admissible.
Que faire pour éviter le retour d’un nullard
Pour que ne soit élue qu’une ample compétence
Évitant la finale qui gâche l’existence
Car le peuple trompé ne le voit que trop tard
Un énarque verbeux sanglé dans son costard
S’il a dans son discours promesse d’abondance
Montre en sa politique excès d’inconsistance
Au point que l’on attend vivement son départ.
Le pays sous sa coupe devient vite frondeur
Et la ruine s’en vient ronger tous les pécules
L’excès de tolérance est un mal ridicule
Faisant pâtir l’état d’un mauvais décideur
De ces complicités qui vinrent le soutenir
Il faut mettre en mémoire les habiles combines
Les malins dont le fric hors de France se débine
Œuvrent toujours dans l’ombre nul ne les voit venir.
La presse sentant le vent, aisément manipule
Les gens que les media aiment désorienter
Elle vend des mensonges en sachant insister
Car ces privilégiés savent être funambules.
Alors je vous en prie si le choix à nouveau
Est entre un âne , un sot, ou bien une bourrique
Votez blanc c’est le choix normal et stratégique
Qui ne conduira pas notre état au tombeau.
Imaginez la chose :un vote insuffisant
Prouvant que l’on refuse la triste incompétence
Serait des démocrates la plus saine sentence
Tolérant seulement les choix intéressants
Il faudrait donc trouver un candidat valable
Qui fasse évoluer la loi sur les scrutins
Afin d’éliminer sots et divers fretins
Hâbleurs à la télé mais souvent incapables
Lors si trop de votants choisissaient la blancheur
Et que la feuille vierge était majoritaire
Le tout des candidats serait démissionnaires
D’une liste nouvelle viendrait quelques fraîcheur
Et puis tels des élevés dont on suit les efforts
Le contrôle continue du pouvoir dans la place
Permettrait de juger le travail efficace
De tous ces gens à qui on confie notre sort..