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Poème mécanique ou cambouis prosodique!
J’ai bien connu un hidalgo
Qui doué pour la mécanique
Savait préparer des autos
Aussi puissantes que magiques
Car sans faire le moindre bruit
Elles montraient de la puissance
Et ne causaient jamais d’ennuis
Ni problème de maintenance.
À Cadix ayant un garage
Cet admirable mécano
Avait la facture assez sage
Sans mettre des queues aux zéros.
Qu’utilisait-il comme acier
Se demandait la concurrence
Ses moteurs étaient-ils sorciers
Pour fonctionner dans le silence
Je ne vous dirai rien du tout
Du secret de ma réussite
Après ma mort attendez vous
À voir que la ville en hérite.
Il s’en alla calme au printemps
L’Andalousie étant en fleurs
On l’aimait il y eut des gens
Qui sur lui versèrent des pleurs
Le notaire dévoila alors
Le secret du mécanicien
Qui révéla son cher trésor
Résumé en alexandrins
Quand on conçoit l’auto avec assez d’amour
La bielle de Cadix à l’essieu de velours !
J’ai bien connu un hidalgo
Qui doué pour la mécanique
Savait préparer des autos
Aussi puissantes que magiques
Car sans faire le moindre bruit
Elles montraient de la puissance
Et ne causaient jamais d’ennuis
Ni problème de maintenance.
À Cadix ayant un garage
Cet admirable mécano
Avait la facture assez sage
Sans mettre des queues aux zéros.
Qu’utilisait-il comme acier
Se demandait la concurrence
Ses moteurs étaient-ils sorciers
Pour fonctionner dans le silence
Je ne vous dirai rien du tout
Du secret de ma réussite
Après ma mort attendez vous
À voir que la ville en hérite.
Il s’en alla calme au printemps
L’Andalousie étant en fleurs
On l’aimait il y eut des gens
Qui sur lui versèrent des pleurs
Le notaire dévoila alors
Le secret du mécanicien
Qui révéla son cher trésor
Résumé en alexandrins
Quand on conçoit l’auto avec assez d’amour
La bielle de Cadix à l’essieu de velours !
