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Politique qui bouge sans souci de nous plaire
Est un film « engueuleur » et en « technicolère »
Je viens me plaindre ici d’un esprit dégueulasse
Qui vient contaminer élite et populace.
La morale s’enfuit et le temps s’encrassant
Fait naître des propos à tous désobligeants.
Les médias vérolés de bêtises perverses
Sur toute honnêteté méchamment se déversent
Et chaque fait divers s’il n’est nauséabond
N’aura aucun espoir de paraître au balcon.
Le pire est quotidien et jamais un bienfait
N’aura en page une un édifiant effet.
Les crimes d’autrefois deviennent tolérables
Rarement le malfrat est jugé en coupable
Et la morale étant privée de la justice
On met sous le tapis les pires immondices
La Fontaine eut raison de le dire à voix haute
On traite à sa façon les délits et les fautes
« Selon que vous serez puissant ou misérable »
Disait l’habile auteur de merveilleuses fables
« Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir »
La loi se perd souvent en d’étranges couloirs.
Tantôt on veut un monde d’humains égalitaires
Tantôt les différences sont dites secondaires
Et la féminité faisant un peu surface
Certains la considère ainsi qu’une menace.
« Les hommes pour la plupart sont étrangement faits
Dans la juste mesure on ne les voit jamais »
Hélas tout était dit mais l’homme méprisable
D’un jugement honnête est rarement capable
Il faudrait du bon sens et moins de lois idiotes
Que votent à tour de bras nos élus sots et sottes
La balance justice est un étrange appas
Chercher son responsable est un constant tracas
Sous des textes abscons qui ne s’appliquent guère
Jamais contre certains les juges font la guerre
Car l’élasticité des censeurs politiques
Montre leur indulgence aux membres de leur clique.
Et par dessus cela la télé les médias
Brassent aveuglement d’obscurs galimatias
Je vous le dis tout net république qui dure
Ne saurait tolérer tant de désinvolture.
Est un film « engueuleur » et en « technicolère »
Je viens me plaindre ici d’un esprit dégueulasse
Qui vient contaminer élite et populace.
La morale s’enfuit et le temps s’encrassant
Fait naître des propos à tous désobligeants.
Les médias vérolés de bêtises perverses
Sur toute honnêteté méchamment se déversent
Et chaque fait divers s’il n’est nauséabond
N’aura aucun espoir de paraître au balcon.
Le pire est quotidien et jamais un bienfait
N’aura en page une un édifiant effet.
Les crimes d’autrefois deviennent tolérables
Rarement le malfrat est jugé en coupable
Et la morale étant privée de la justice
On met sous le tapis les pires immondices
La Fontaine eut raison de le dire à voix haute
On traite à sa façon les délits et les fautes
« Selon que vous serez puissant ou misérable »
Disait l’habile auteur de merveilleuses fables
« Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir »
La loi se perd souvent en d’étranges couloirs.
Tantôt on veut un monde d’humains égalitaires
Tantôt les différences sont dites secondaires
Et la féminité faisant un peu surface
Certains la considère ainsi qu’une menace.
« Les hommes pour la plupart sont étrangement faits
Dans la juste mesure on ne les voit jamais »
Hélas tout était dit mais l’homme méprisable
D’un jugement honnête est rarement capable
Il faudrait du bon sens et moins de lois idiotes
Que votent à tour de bras nos élus sots et sottes
La balance justice est un étrange appas
Chercher son responsable est un constant tracas
Sous des textes abscons qui ne s’appliquent guère
Jamais contre certains les juges font la guerre
Car l’élasticité des censeurs politiques
Montre leur indulgence aux membres de leur clique.
Et par dessus cela la télé les médias
Brassent aveuglement d’obscurs galimatias
Je vous le dis tout net république qui dure
Ne saurait tolérer tant de désinvolture.
