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Pour tes yeux félins….
Éros de guerre lasse, abandonne et sommeille,
Quand ton rai diamantin, captant l’obscurité,
A crée de cette ombre, un voile à ta beauté,
De peur que son éclat, n’éblouisse et ne réveille.
Et tout ton charme opère et agite son sommeil,
Ranimant dans son songe, une fébrilité,
De t’avoir désirée, dans toute ta clarté,
Murmurant doucement, un aveu sans pareil :
« Pardonne-moi, déesse, as-tu atteint un mort ?
Crains-tu l'heure-ci, où ton amoureux dort ,
Dont le réveil va être, un début de défaite ?
Ce captif est vaincu, tu ne dois avoir peur.
Achève ce goujat, il l’a dit dans sa quête,
En homme succombant, à son arrache-cœur.