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Printemps joli !
Le cerisier enfoui, a fleuri ses rameaux
Dressés vers le ciel bleu, au cœur de la garrigue.
Ses fleurs agglutinées de multiples jumeaux,
S’offrent à mes yeux clairs tels un ami prodigue.
La frêle violette a fleuri dans le bois,
Sous les buissons d’argent à l’abri des froidures.
J’ai vu danser la fée, au chemin des trois rois,
Portant des feuilles d’or en guise de chaussures…
Sa robe d’organdi s’effeuille au cœur du vent,
Puis monsieur le printemps se posa sur sa bouche ;
Instant délicieux caché sous l’abrivent,
La belle lui offrit les plaisirs de sa couche.
La musique inaudible où se meurt à l’instant,
La fin des petits jours, trépas des nuits trop longues,
Je les entends vibrer sur mon cœur palpitant,
Notes ensoleillées aux consonances oblongues.
Margénye
Avril 2012.
Joyeuses Pâques à vous tous chers amis de "je poème"!
Le cerisier enfoui, a fleuri ses rameaux
Dressés vers le ciel bleu, au cœur de la garrigue.
Ses fleurs agglutinées de multiples jumeaux,
S’offrent à mes yeux clairs tels un ami prodigue.
La frêle violette a fleuri dans le bois,
Sous les buissons d’argent à l’abri des froidures.
J’ai vu danser la fée, au chemin des trois rois,
Portant des feuilles d’or en guise de chaussures…
Sa robe d’organdi s’effeuille au cœur du vent,
Puis monsieur le printemps se posa sur sa bouche ;
Instant délicieux caché sous l’abrivent,
La belle lui offrit les plaisirs de sa couche.
La musique inaudible où se meurt à l’instant,
La fin des petits jours, trépas des nuits trop longues,
Je les entends vibrer sur mon cœur palpitant,
Notes ensoleillées aux consonances oblongues.
Margénye
Avril 2012.
Joyeuses Pâques à vous tous chers amis de "je poème"!
