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Que dire de ce galimatias politico- covido-hystérique
[pamphlet qui à certains ne saurait plaire]
Oyant le Président j’écris ces quelques mots
Car je viens d’écouter sur lui quelques ragots.
Il a donc employé le vocable emmerder
Parlant de trublions qui aiment jobarder.
Car sur la pandémie on a mis tant d’épices
Que la presse maligne en a gonflé les vices.
Tout ceux dont l’ignorance est la vertu notable
Sont venus se répandre en erreurs lamentables
Et la virologie connaissance complexe
Devint des feuilles de choux la principale annexe.
Car il faut bien savoir qu’en France le politique
Ignorant le réel devient logorrhéique.
[pamphlet qui à certains ne saurait plaire]
Oyant le Président j’écris ces quelques mots
Car je viens d’écouter sur lui quelques ragots.
Il a donc employé le vocable emmerder
Parlant de trublions qui aiment jobarder.
Car sur la pandémie on a mis tant d’épices
Que la presse maligne en a gonflé les vices.
Tout ceux dont l’ignorance est la vertu notable
Sont venus se répandre en erreurs lamentables
Et la virologie connaissance complexe
Devint des feuilles de choux la principale annexe.
Car il faut bien savoir qu’en France le politique
Ignorant le réel devient logorrhéique.
Fallait -il imposer le geste vaccinant
Pour soigner les savants comme les ignorants
Et quitte à chiffonner notre démocratie
Offrir moins de décès à la médiocratie.
Le français mécontent et toujours taciturne
Aurait vilipendé celui qu’il mit dans l’urne.
Mais voila ce qui gène c’est que pour une fois
La France sait surnager quand le monde merdoie .
Alors comprenez bien que je fuis toute presse
Qui du matin au soir inquiète ou bien agresse.
Accuser le pouvoir de ne pas savoir faire
Est de sots prétendants le discours ordinaire
Pour soigner les savants comme les ignorants
Et quitte à chiffonner notre démocratie
Offrir moins de décès à la médiocratie.
Le français mécontent et toujours taciturne
Aurait vilipendé celui qu’il mit dans l’urne.
Mais voila ce qui gène c’est que pour une fois
La France sait surnager quand le monde merdoie .
Alors comprenez bien que je fuis toute presse
Qui du matin au soir inquiète ou bien agresse.
Accuser le pouvoir de ne pas savoir faire
Est de sots prétendants le discours ordinaire
Car la chose est complexe voila qu’il faut élire
Une dame ou un homme dont le discours délire
Et qui promettant tout ne signe pas de pacte
Le faisant éjecter si ses mots sont sans actes
Depuis longtemps déjà les nantis s’enrichissent
Et en contre partie les pauvres s’appauvrissent.
Et l’on voir revenir sur la scène publique
Tous ceux dont la sottise navra la république
Si nous nous sortons bien d’une pathologie
Dont la science osera faire la nécrologie
Espérons en premier un miracle soudain :
La justice embrassant le peuple souverain.
Une dame ou un homme dont le discours délire
Et qui promettant tout ne signe pas de pacte
Le faisant éjecter si ses mots sont sans actes
Depuis longtemps déjà les nantis s’enrichissent
Et en contre partie les pauvres s’appauvrissent.
Et l’on voir revenir sur la scène publique
Tous ceux dont la sottise navra la république
Si nous nous sortons bien d’une pathologie
Dont la science osera faire la nécrologie
Espérons en premier un miracle soudain :
La justice embrassant le peuple souverain.
Faudra-t-il à nouveau enrichir la paresse
D’hypocrites usant d’électorales caresses
Et qui couvrant de mots chaque contribuable
Leur lisseront le poil pour qu’il soit plus taxable
Comment donc répartir les efforts et les gains
Oublier le courage est à l’état malsain
Apporter assistance aux faux nécessiteux
Châtier sans retard ce qui est dangereux.
Cela commencerait d’une simple façon
Placer au pieds du mur le meilleur des maçons
Et jamais ne revoir un élu incapable
Dont les promesses ne furent que de vulgaires fables.
D’hypocrites usant d’électorales caresses
Et qui couvrant de mots chaque contribuable
Leur lisseront le poil pour qu’il soit plus taxable
Comment donc répartir les efforts et les gains
Oublier le courage est à l’état malsain
Apporter assistance aux faux nécessiteux
Châtier sans retard ce qui est dangereux.
Cela commencerait d’une simple façon
Placer au pieds du mur le meilleur des maçons
Et jamais ne revoir un élu incapable
Dont les promesses ne furent que de vulgaires fables.
