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- SIX-FOURS LES PLAGES
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Eternelle rêveuse, je songe à l’ombre de l’acacia
A ces jours heureux , ou nous étions deux !
Notre terrasse ensoleillée, si joliment fleurie,
Semble encore retentir de nos éclats de rire,
De notre gourmandise face à tes sublimes repas,
De ses moments de tendresse, sur fond de ciel bleu
Te souviens -tu, combien nous étions dégourdis
Rien ne nous arrêtait ,ni folies ... Ni délires...
Par grand vent, seuls au bout de la jetée
Nous rions ,inondés par des vagues énormes,
Tu me tenais serrée entre tes bras
Et je riais face aux éléments déchaînés
Puis, trempés mais en pleine forme,
Nous reprenions le chemin en contrebas
Bras dessus bras dessous, en amoureux
Seuls au monde, et tellement heureux...
Notre vie a été un long chemin, parfois rocailleux
Qu’importe, nous étions deux, puis trois puis quatre
Avec des chiens, des chats, des poissons, des oiseaux,
Tout pour être heureux ,et nous l’avons été...
Avec les soucis de tout le monde, mais heureux
Jusqu’au moment ou un mal insidieux
A décider de te vaincre, de t’abattre,
Tu t’es tellement battu, mon « ROMEO »
Puis vaincu, tu as, lâché prise...
Et tu es parti.....
G.PERRIN 2/05/2025
A ces jours heureux , ou nous étions deux !
Notre terrasse ensoleillée, si joliment fleurie,
Semble encore retentir de nos éclats de rire,
De notre gourmandise face à tes sublimes repas,
De ses moments de tendresse, sur fond de ciel bleu
Te souviens -tu, combien nous étions dégourdis
Rien ne nous arrêtait ,ni folies ... Ni délires...
Par grand vent, seuls au bout de la jetée
Nous rions ,inondés par des vagues énormes,
Tu me tenais serrée entre tes bras
Et je riais face aux éléments déchaînés
Puis, trempés mais en pleine forme,
Nous reprenions le chemin en contrebas
Bras dessus bras dessous, en amoureux
Seuls au monde, et tellement heureux...
Notre vie a été un long chemin, parfois rocailleux
Qu’importe, nous étions deux, puis trois puis quatre
Avec des chiens, des chats, des poissons, des oiseaux,
Tout pour être heureux ,et nous l’avons été...
Avec les soucis de tout le monde, mais heureux
Jusqu’au moment ou un mal insidieux
A décider de te vaincre, de t’abattre,
Tu t’es tellement battu, mon « ROMEO »
Puis vaincu, tu as, lâché prise...
Et tu es parti.....
G.PERRIN 2/05/2025