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Poème Sacré Victor !

Peniculo

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#1
Sacré Victor !


Depuis hier Hugo a un léger souci
Il sent sur ses talons un semblant de présence
Le même pas discret à sa même cadence,
S’il s’arrête un moment l’autre s’arrête aussi.

Mais il ne voit personne accolé à ses basques
Il essaya des ruses pour trouver son suiveur
Que ce soit en plein jour ou bien dans la noirceur
Sont-ce réalités ou délires fantasques.

Même dans l’air nocturne après le cinéma
Il devine, ou il sent, une mouvante chose
Il se sait en danger la prudence s’impose
L’ombre cacherait-elle un fol anonymat

Car on tue quelques fois en le suivant d’abord
Un inconnu des rues sans raison véritable
On n’est pas à l’abri du crime épouvantable
Du poignard qui extrait le sang de votre corps.

Sans cesse poursuivi Victor s’en accommode
Tout en restant vigile et toujours méfiant
Ce regard dans son dos Est-ce insignifiant
Ou début d’un délit figurant dans le code.

Toute sa vie hélas la chose persécute
Ce malheureux Victor qui n’a plus de répit
Définitivement on le suit, on l’épie
Cette fatalité prémédite sa chute.

Mais très banalement il meurt de belle mort
(Si tant est que la chose ait une bonne face)
Il s’en va sans souffrir, où est donc la menace
Qu’il croyait accrochée au quotidien décor ?

On fit ce qu’il fallait il fut mis en tombeau
Mais Victor n’étais pas à l’abri de la chose
Et quand il se trouva dans l’ombre où l’on repose
L’œil était dans la tombe et regardait Hugo !






 
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#2
Sacré Victor !


Depuis hier Hugo a un léger souci
Il sent sur ses talons un semblant de présence
Le même pas discret à sa même cadence,
S’il s’arrête un moment l’autre s’arrête aussi.

Mais il ne voit personne accolé à ses basques
Il essaya des ruses pour trouver son suiveur
Que ce soit en plein jour ou bien dans la noirceur
Sont-ce réalités ou délires fantasques.

Même dans l’air nocturne après le cinéma
Il devine, ou il sent, une mouvante chose
Il se sait en danger la prudence s’impose
L’ombre cacherait-elle un fol anonymat

Car on tue quelques fois en le suivant d’abord
Un inconnu des rues sans raison véritable
On n’est pas à l’abri du crime épouvantable
Du poignard qui extrait le sang de votre corps.

Sans cesse poursuivi Victor s’en accommode
Tout en restant vigile et toujours méfiant
Ce regard dans son dos Est-ce insignifiant
Ou début d’un délit figurant dans le code.

Toute sa vie hélas la chose persécute
Ce malheureux Victor qui n’a plus de répit
Définitivement on le suit, on l’épie
Cette fatalité prémédite sa chute.

Mais très banalement il meurt de belle mort
(Si tant est que la chose ait une bonne face)
Il s’en va sans souffrir, où est donc la menace
Qu’il croyait accrochée au quotidien décor ?

On fit ce qu’il fallait il fut mis en tombeau
Mais Victor n’étais pas à l’abri de la chose
Et quand il se trouva dans l’ombre où l’on repose
L’œil était dans la tombe et regardait Hugo !







Bravo cher Monsieur
 

D.Isabelle

Maître poète
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#3
Sacré Victor !


Depuis hier Hugo a un léger souci
Il sent sur ses talons un semblant de présence
Le même pas discret à sa même cadence,
S’il s’arrête un moment l’autre s’arrête aussi.


Mais il ne voit personne accolé à ses basques
Il essaya des ruses pour trouver son suiveur
Que ce soit en plein jour ou bien dans la noirceur
Sont-ce réalités ou délires fantasques.


Même dans l’air nocturne après le cinéma
Il devine, ou il sent, une mouvante chose
Il se sait en danger la prudence s’impose
L’ombre cacherait-elle un fol anonymat


Car on tue quelques fois en le suivant d’abord
Un inconnu des rues sans raison véritable
On n’est pas à l’abri du crime épouvantable
Du poignard qui extrait le sang de votre corps.


Sans cesse poursuivi Victor s’en accommode
Tout en restant vigile et toujours méfiant
Ce regard dans son dos Est-ce insignifiant
Ou début d’un délit figurant dans le code.


Toute sa vie hélas la chose persécute
Ce malheureux Victor qui n’a plus de répit
Définitivement on le suit, on l’épie
Cette fatalité prémédite sa chute.


Mais très banalement il meurt de belle mort
(Si tant est que la chose ait une bonne face)
Il s’en va sans souffrir, où est donc la menace
Qu’il croyait accrochée au quotidien décor ?


On fit ce qu’il fallait il fut mis en tombeau
Mais Victor n’étais pas à l’abri de la chose
Et quand il se trouva dans l’ombre où l’on repose
L’œil était dans la tombe et regardait Hugo !

Ouah ça fait flipper, Hugo n'est pas sorti de ses angoisses
Merci Peniculo, une lecture qui retient notre attention

Belle journée
Bien amicalement
Isabelle
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