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Poème Sont-ce certaines littératures, des forfaitures ?

Peniculo

Grand poète
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19 Octobre 2018
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#1
Sont-ce certaines littératures des forfaitures ?

Élise me dit pour te plaire
Puisque c’est ton anniversaire
J’ai trouvé de quoi te distraire :
Un érotique abécédaire.

J’en commence donc la lecture
Regarde images et figures
Quelques remarquables postures
Dignes de tenter l’aventure

J’explique la nécessité
À Élise un peu excitée
D’un peu de virtuosité
Pour vaincre la difficulté

À bien examiner l’image
Qui occupe toute une page
Je vois un aimable partage
Ayant besoin d’apprentissage

Mais n’ayant pas de patience
Élise tente l’expérience
Pratique étant mieux que science
Pour l’érotique bienveillance.

Et dans l’utile position
Nécessitant des flexions
Et bien sur des contractions
Nous osons sans répétition.

La complexité de l’audace
Malheureusement nous dépasse
Et les mouvements dans l’espace
De contracture nous menacent.

Pourtant je dois dire qu’Élise
S’applique de façon précise
À surmonter la gourmandise
Commençant de façon exquise

Manquant sans doute de souplesse
Pour l’hélicoïde caresse
J’ai le vertébral qui paresse
Et m’emmêle dans ma prouesse

Je chute alors de l’escapade
Ne pouvant avoir de parade
Galant je sers de balustrade
À Élise en dégringolade .

C’est dons le SAMU régional
Qui à l’étreinte peu banale
Mit simplement le point final
En m’emmenant à l’hôpital.

De plâtre j’eus une parure
Englobant bassin et ceinture
Mais en laissant une ouverture
Pour les besoins de la nature.

Élise en voyant l’orifice
Dit se peut-il que tu puisses
Y passant l’outil des délices
De mon plaisir être complice.

Et c’est ainsi qu’une pratique
Où la femme mène la tactique
Exauça l’envie en clinique
D’Élise devenant lubrique.

La délicieuse cavalière
Du plâtre niant la barrière
Fut donc la seule ouvrière
D’un tendre sabbat de sorcière

Le classique n’est pas une erreur
Le complexe trop accapareur
Peut engendrer quelque malheur
Simple et bien fait c’est le bonheur.

Et depuis je ne risque pas
D’être acrobate indélicat
Je prends Élise dans mes bras
Sans user du Kamasutra.

Belles sachez rester classiques
Car certains livres théoriques
En vous compliquant la pratique
Détériore l’étreinte magique.

Il reste dans les traditions
De délicates attentions
Portant à la délectation
Sans se fracturer le croupion !

Car les postures sans tracas
Font les amants plus délicats
Qui sans plâtre et sans arnica
Vous mènent au bonheur sans fracas.









 
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#2
Sont-ce certaines littératures des forfaitures ?

Élise me dit pour te plaire
Puisque c’est ton anniversaire
J’ai trouvé de quoi te distraire :
Un érotique abécédaire.

J’en commence donc la lecture
Regarde images et figures
Quelques remarquables postures
Dignes de tenter l’aventure

J’explique la nécessité
À Élise un peu excitée
D’un peu de virtuosité
Pour vaincre la difficulté

À bien examiner l’image
Qui occupe toute une page
Je vois un aimable partage
Ayant besoin d’apprentissage

Mais n’ayant pas de patience
Élise tente l’expérience
Pratique étant mieux que science
Pour l’érotique bienveillance.

Et dans l’utile position
Nécessitant des flexions
Et bien sur des contractions
Nous osons sans répétition.

La complexité de l’audace
Malheureusement nous dépasse
Et les mouvements dans l’espace
De contracture nous menacent.

Pourtant je dois dire qu’Élise
S’applique de façon précise
À surmonter la gourmandise
Commençant de façon exquise

Manquant sans doute de souplesse
Pour l’hélicoïde caresse
J’ai le vertébral qui paresse
Et m’emmêle dans ma prouesse

Je chute alors de l’escapade
Ne pouvant avoir de parade
Galant je sers de balustrade
À Élise en dégringolade .

C’est dons le SAMU régional
Qui à l’étreinte peu banale
Mit simplement le point final
En m’emmenant à l’hôpital.

De plâtre j’eus une parure
Englobant bassin et ceinture
Mais en laissant une ouverture
Pour les besoins de la nature.

Élise en voyant l’orifice
Dit se peut-il que tu puisses
Y passant l’outil des délices
De mon plaisir être complice.

Et c’est ainsi qu’une pratique
Où la femme mène la tactique
Exauça l’envie en clinique
D’Élise devenant lubrique.

La délicieuse cavalière
Du plâtre niant la barrière
Fut donc la seule ouvrière
D’un tendre sabbat de sorcière

Le classique n’est pas une erreur
Le complexe trop accapareur
Peut engendrer quelque malheur
Simple et bien fait c’est le bonheur.

Et depuis je ne risque pas
D’être acrobate indélicat
Je prends Élise dans mes bras
Sans user du Kamasutra.

Belles sachez rester classiques
Car certains livres théoriques
En vous compliquant la pratique
Détériore l’étreinte magique.

Il reste dans les traditions
De délicates attentions
Portant à la délectation
Sans se fracturer le croupion !

Car les postures sans tracas
Font les amants plus délicats
Qui sans plâtre et sans arnica
Vous mènent au bonheur sans fracas.









Une lecture appétissante, très appétissante
 

Gabrielle

Maître poète
Inscrit
18 Août 2018
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Je suis
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Hors ligne
#3
vous savez me faire rire aux larmes
dans l'histoire nul ne vous désarme
lorsqu'en maître règne votre humour
l'imaginaire apprécie l'amour
 
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