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Poème d'amour Sophie Devant

MCI2A

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#1

Dans le soleil couchant de la baie sous le vent
Je cheminais aux côtés de Sophie Devant.
Elle avait accepté, je dus cacher ma joie,
De faire, avant dîner, quelques pas avec moi.

Je l’écoutais, béat, raconter sa journée,
Parler avec les mains, espiègle et animée.
Les vaguelettes aussi, paraissaient l’écouter,
S’arrêtant, tout ouïe, avant de déferler.

Mon regard se portait sur les ondulations
De la brise légère dans ses cheveux blonds,
Puis parcourait, ardent, sa belle silhouette,
Oscillante à souhait, à le rendre bête.

Mes tongues dans les mains, pieds nus sur le sable,
Je goûtais ce moment, bonheur ineffable,
Quand son bras effleura doucement ma main...
Mon corps fut traversé par un frisson soudain.

Pour cacher ce trouble, je pris la parole
Mais un chevrotement me trahit. Pas de bol !
Elle se tourna vers moi, et son sourire mutin,
M’incita gentiment, à lui prendre la main.

Cœur battant, je le fis . Elle ne protesta pas.
Alors je découvris, quand elle me regarda,
Ses yeux luisant d’une prometteuse fièvre.
La main que je tenais rejoignit mes lèvres.


Elle se rapprocha, amplifiant mon émoi.
La femme que j’aimais se tenait face à moi,
Consentante à souhait, sublime et gracieuse,
Mon bras l’enveloppa, pause délicieuse.

Elle se rapprocha, son parfum m’enivra,
Déjà connu de moi : Lolita Lempicka.
C’est dans le charme de cette fragrance
Qu’un long baiser scella notre belle alliance.
 
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#2

Dans le soleil couchant de la baie sous le vent
Je cheminais aux côtés de Sophie Devant.
Elle avait accepté, je dus cacher ma joie,
De faire, avant dîner, quelques pas avec moi.

Je l’écoutais, béat, raconter sa journée,
Parler avec les mains, espiègle et animée.
Les vaguelettes aussi, paraissaient l’écouter,
S’arrêtant, tout ouïe, avant de déferler.

Mon regard se portait sur les ondulations
De la brise légère dans ses cheveux blonds,
Puis parcourait, ardent, sa belle silhouette,
Oscillante à souhait, à le rendre bête.

Mes tongues dans les mains, pieds nus sur le sable,
Je goûtais ce moment, bonheur ineffable,
Quand son bras effleura doucement ma main...
Mon corps fut traversé par un frisson soudain.

Pour cacher ce trouble, je pris la parole
Mais un chevrotement me trahit. Pas de bol !
Elle se tourna vers moi, et son sourire mutin,
M’incita gentiment, à lui prendre la main.

Cœur battant, je le fis . Elle ne protesta pas.
Alors je découvris, quand elle me regarda,
Ses yeux luisant d’une prometteuse fièvre.
La main que je tenais rejoignit mes lèvres.


Elle se rapprocha, amplifiant mon émoi.
La femme que j’aimais se tenait face à moi,
Consentante à souhait, sublime et gracieuse,
Mon bras l’enveloppa, pause délicieuse.

Elle se rapprocha, son parfum m’enivra,
Déjà connu de moi : Lolita Lempicka.
C’est dans le charme de cette fragrance
Qu’un long baiser scella notre belle alliance.
Merci pour ce joli poème tout en douceur tout en pudeur...JC Dominé
 

CLARI

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#3
Magnifique narration poétique d'une belle idylle naissante.
C'est doux, c'est tendre, coulant de source,, écriture caressante.

Bravo, jolie entrée en matière
 

Moi

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#4

Dans le soleil couchant de la baie sous le vent
Je cheminais aux côtés de Sophie Devant.
Elle avait accepté, je dus cacher ma joie,
De faire, avant dîner, quelques pas avec moi.

Je l’écoutais, béat, raconter sa journée,
Parler avec les mains, espiègle et animée.
Les vaguelettes aussi, paraissaient l’écouter,
S’arrêtant, tout ouïe, avant de déferler.

Mon regard se portait sur les ondulations
De la brise légère dans ses cheveux blonds,
Puis parcourait, ardent, sa belle silhouette,
Oscillante à souhait, à le rendre bête.

Mes tongues dans les mains, pieds nus sur le sable,
Je goûtais ce moment, bonheur ineffable,
Quand son bras effleura doucement ma main...
Mon corps fut traversé par un frisson soudain.

Pour cacher ce trouble, je pris la parole
Mais un chevrotement me trahit. Pas de bol !
Elle se tourna vers moi, et son sourire mutin,
M’incita gentiment, à lui prendre la main.

Cœur battant, je le fis . Elle ne protesta pas.
Alors je découvris, quand elle me regarda,
Ses yeux luisant d’une prometteuse fièvre.
La main que je tenais rejoignit mes lèvres.


Elle se rapprocha, amplifiant mon émoi.
La femme que j’aimais se tenait face à moi,
Consentante à souhait, sublime et gracieuse,
Mon bras l’enveloppa, pause délicieuse.

Elle se rapprocha, son parfum m’enivra,
Déjà connu de moi : Lolita Lempicka.
C’est dans le charme de cette fragrance
Qu’un long baiser scella notre belle alliance.

Splendide! En tous points...
Belle versification.
Amitiés
 
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#5

Dans le soleil couchant de la baie sous le vent
Je cheminais aux côtés de Sophie Devant.
Elle avait accepté, je dus cacher ma joie,
De faire, avant dîner, quelques pas avec moi.

Je l’écoutais, béat, raconter sa journée,
Parler avec les mains, espiègle et animée.
Les vaguelettes aussi, paraissaient l’écouter,
S’arrêtant, tout ouïe, avant de déferler.

Mon regard se portait sur les ondulations
De la brise légère dans ses cheveux blonds,
Puis parcourait, ardent, sa belle silhouette,
Oscillante à souhait, à le rendre bête.

Mes tongues dans les mains, pieds nus sur le sable,
Je goûtais ce moment, bonheur ineffable,
Quand son bras effleura doucement ma main...
Mon corps fut traversé par un frisson soudain.

Pour cacher ce trouble, je pris la parole
Mais un chevrotement me trahit. Pas de bol !
Elle se tourna vers moi, et son sourire mutin,
M’incita gentiment, à lui prendre la main.

Cœur battant, je le fis . Elle ne protesta pas.
Alors je découvris, quand elle me regarda,
Ses yeux luisant d’une prometteuse fièvre.
La main que je tenais rejoignit mes lèvres.


Elle se rapprocha, amplifiant mon émoi.
La femme que j’aimais se tenait face à moi,
Consentante à souhait, sublime et gracieuse,
Mon bras l’enveloppa, pause délicieuse.

Elle se rapprocha, son parfum m’enivra,
Déjà connu de moi : Lolita Lempicka.
C’est dans le charme de cette fragrance
Qu’un long baiser scella notre belle alliance.
Très beau et très doux
Merci du partage
 

Saoirse

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#6
J'adore votre écriture délicate et sensible. cette belle histoire de rencontre me fait fondre. Le premier texte de l'année pour moi et quel texte, pour vous dire ce que j'en pense je vais convoquer Corneille

Vos pareils à deux fois ne se font point connaître
Et pour leur coup d'essai veulent un coup de maître
 

Storgé

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#9
Un admirateur de Sophie d'avant ou de maintenant ....
Je vois que l'affaire a, malgré tout, été conclue, bravo
 

bkader

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#10

Dans le soleil couchant de la baie sous le vent
Je cheminais aux côtés de Sophie Devant.
Elle avait accepté, je dus cacher ma joie,
De faire, avant dîner, quelques pas avec moi.

Je l’écoutais, béat, raconter sa journée,
Parler avec les mains, espiègle et animée.
Les vaguelettes aussi, paraissaient l’écouter,
S’arrêtant, tout ouïe, avant de déferler.

Mon regard se portait sur les ondulations
De la brise légère dans ses cheveux blonds,
Puis parcourait, ardent, sa belle silhouette,
Oscillante à souhait, à le rendre bête.

Mes tongues dans les mains, pieds nus sur le sable,
Je goûtais ce moment, bonheur ineffable,
Quand son bras effleura doucement ma main...
Mon corps fut traversé par un frisson soudain.

Pour cacher ce trouble, je pris la parole
Mais un chevrotement me trahit. Pas de bol !
Elle se tourna vers moi, et son sourire mutin,
M’incita gentiment, à lui prendre la main.

Cœur battant, je le fis . Elle ne protesta pas.
Alors je découvris, quand elle me regarda,
Ses yeux luisant d’une prometteuse fièvre.
La main que je tenais rejoignit mes lèvres.


Elle se rapprocha, amplifiant mon émoi.
La femme que j’aimais se tenait face à moi,
Consentante à souhait, sublime et gracieuse,
Mon bras l’enveloppa, pause délicieuse.

Elle se rapprocha, son parfum m’enivra,
Déjà connu de moi : Lolita Lempicka.
C’est dans le charme de cette fragrance
Qu’un long baiser scella notre belle alliance.
poésie douce que j'ai suivi au rythme
d'un cœur battant et se terminant par un long baiser
merci pour ce partage
 

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