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Un été en Provence,
Douce Provence ! Pays de mon enfance
J’attendais impatient de venir l’été
De quitter la maison et passer les vacances
Avec mes parents pour ces mois de gaieté.
Nous n’étions pas riches, pour rien au monde
Je voulais aller ailleurs, des rires et plaisirs
C’était toute ma jeunesse, pas une seconde
A perdre, car il fallait à tout prix partir.
Je ne pouvais oublier dans mes bagages
L’élément essentiel à tout bon nageur
Le slip de bain, me baigner ! Fallait être sage
Attendant l’arrivée et éviter les heurts.
Et voilà enfin ! Cet instant tant désiré
Sortir de l’auto et courir droit vers la mer
Je criais ma joie au ciel, pour admirer
La beauté de l’endroit, je me croyais Homère.
Et hop ! Je plongeais dans la Méditerranée
Le bonheur de nager dans ces flots merveilleux
Sentir le soleil sur la peau, pouvoir flâner
Près des oliviers, j’étais vraiment heureux.
Marcher dans la garrigue, sentir les bouquets
De fleurs sauvages et que j’apportais le soir
A ma mère, je pensais au petit paquet
De lavande que j’allais donner à Edouard.
Douce Provence ! Pays de mon enfance
J’attendais impatient de venir l’été
De quitter la maison et passer les vacances
Avec mes parents pour ces mois de gaieté.
Nous n’étions pas riches, pour rien au monde
Je voulais aller ailleurs, des rires et plaisirs
C’était toute ma jeunesse, pas une seconde
A perdre, car il fallait à tout prix partir.
Je ne pouvais oublier dans mes bagages
L’élément essentiel à tout bon nageur
Le slip de bain, me baigner ! Fallait être sage
Attendant l’arrivée et éviter les heurts.
Et voilà enfin ! Cet instant tant désiré
Sortir de l’auto et courir droit vers la mer
Je criais ma joie au ciel, pour admirer
La beauté de l’endroit, je me croyais Homère.
Et hop ! Je plongeais dans la Méditerranée
Le bonheur de nager dans ces flots merveilleux
Sentir le soleil sur la peau, pouvoir flâner
Près des oliviers, j’étais vraiment heureux.
Marcher dans la garrigue, sentir les bouquets
De fleurs sauvages et que j’apportais le soir
A ma mère, je pensais au petit paquet
De lavande que j’allais donner à Edouard.