Hors ligne
J’étire mes ailerons, afin que mes neurones se réveillent pour de bon
Et déjà au p’tit dej de mon inspiration, écoutant les infos, marmelade de mots s’étale sur ma tartine, des phrases se bousculent, s’entortillent, s’agglutinent …..
La compote résiste pour un temps, s’armature ; puis battue dégouline en une déconfiture
Cette gelée amère dans ma bouche sucrée ne trouvant pas sa place, ma confiture maison bien vite la remplace et dans mon univers enfin je me dépasse …
… pas d’armure, pas d’épée et pas de bouclier, je pars sur mon sentier tel un preux Chevalier
Et dans mon bel habit fait d’or et de lumière je fais du trampoline sur la langue de Molière
Je dompte la phrase en belle écuyère en ignorant les autres, qu’ils se battent pour leur guerre !
Les combats que je mène sont des joutes verbales ; quelques fleurs au fusil, mes mots remplacent leurs balles
Des mots sages ou moins sages pour des êtres de passage au carrefour de leurs vies
Qui choisissent une route et rejettent leurs doutes, comme tu le fais, toi aussi, aujourd’hui
A nos différences d’âmes et au décalage de nos personnages.
Et déjà au p’tit dej de mon inspiration, écoutant les infos, marmelade de mots s’étale sur ma tartine, des phrases se bousculent, s’entortillent, s’agglutinent …..
La compote résiste pour un temps, s’armature ; puis battue dégouline en une déconfiture
Cette gelée amère dans ma bouche sucrée ne trouvant pas sa place, ma confiture maison bien vite la remplace et dans mon univers enfin je me dépasse …
… pas d’armure, pas d’épée et pas de bouclier, je pars sur mon sentier tel un preux Chevalier
Et dans mon bel habit fait d’or et de lumière je fais du trampoline sur la langue de Molière
Je dompte la phrase en belle écuyère en ignorant les autres, qu’ils se battent pour leur guerre !
Les combats que je mène sont des joutes verbales ; quelques fleurs au fusil, mes mots remplacent leurs balles
Des mots sages ou moins sages pour des êtres de passage au carrefour de leurs vies
Qui choisissent une route et rejettent leurs doutes, comme tu le fais, toi aussi, aujourd’hui
A nos différences d’âmes et au décalage de nos personnages.