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Un hommage vibrant à Nerval dans cette quintessence poétique de la vie, de l'amour, du temps qui passe, de la beauté, de la laideur et de l'espoir déçu....
A force de la relire, vous ne la ressentirez jamais de la même façon !
D'abord simple et futile, puis tellement fragile, et enfin si pure et subtile....
....comme l'âme de cet immense poète....
A cher Nerval, pourquoi t'es tu si tôt suicidé?
Comme j'aurais aimé te connaître, retenir ta main?
Le désespoir de ta vie transparaît si bien dans tes "Chimères " et dans cette éblouissante allée du Luxembourg.
Merci, merci pour tout cela.
A force de la relire, vous ne la ressentirez jamais de la même façon !
D'abord simple et futile, puis tellement fragile, et enfin si pure et subtile....
....comme l'âme de cet immense poète....
A cher Nerval, pourquoi t'es tu si tôt suicidé?
Comme j'aurais aimé te connaître, retenir ta main?
Le désespoir de ta vie transparaît si bien dans tes "Chimères " et dans cette éblouissante allée du Luxembourg.
Merci, merci pour tout cela.
Une allée du Luxembourg
Elle a passé, la jeune fille
Vive et preste comme un oiseau
À la main une fleur qui brille,
À la bouche un refrain nouveau.
Vive et preste comme un oiseau
À la main une fleur qui brille,
À la bouche un refrain nouveau.
C'est peut-être la seule au monde
Dont le coeur au mien répondrait,
Qui venant dans ma nuit profonde
D'un seul regard l'éclaircirait !
Dont le coeur au mien répondrait,
Qui venant dans ma nuit profonde
D'un seul regard l'éclaircirait !
Mais non, ma jeunesse est finie ...
Adieu, doux rayon qui m'as lui,
Parfum, jeune fille, harmonie...
Le bonheur passait, il a fui !
Adieu, doux rayon qui m'as lui,
Parfum, jeune fille, harmonie...
Le bonheur passait, il a fui !