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Une pérenne chimère
J’oscillais avec crainte en ce saphir terreux
Quand ma perle accoucha de son rayon ombré
Me sentant esseulée dans ce monde aliéné
N’arrivant à saisir ces dires belliqueux
Qui vrillent mes tympans depuis mes premiers pas
Afin d’annihiler gratuitement mon être.
Alors je compris qu’il me fallait me repaître
En partant dans un lieu pour me faire un repas
Où l’onirisme étant sa substance première
Afin de m’évader dans un Eden accort
Où raisonne un seul nom nous mettant en accord
Que sous ces traits experts au goût imaginaire
Un grand homme a fait naître un empire atypique.
Il a su m’envoûter lors de ma découverte
De cette nitescence aux morales ouvertes
Qui pour les inculquer aux différents publiques
Se fonde sur l’esprit d’avoir avec brio
Crée des sédiments aux diverses lectures
Afin de nous prouver sous ses douces peintures
Que la magie ne meurt sous ses coups de pinceaux
Offrant de la lumière en nos cœurs embrunis.
Qu’importe le quantième où l’on est apparu
Rêver et s’immerger sur un sol inconnu
N’a rien de désinvolte abolissons les bruits
Les poncifs incongrus qui réduisent sa plume
Au stade de l’éveil tel de l’art immature.
Alors que du bambin sous sa sainte stature
On n’a tout à savoir sur ces œuvres posthumes
Ou encore former sous la main du géant
Qui a confectionné des songes immortels
Afin de nous narrer que sous ses étincelles
Se camoufle un message enseigné par l’enfant
Rêver n’a pas de fin c’est un immuable conte.
Alors n’ayons pas peur d’innover en suivant
Ces candides savants qui d’un amour fervent
Vont guider nos fusains pour dessiner sans honte
Nos chimères croquées au sein de nos pensées
Pour que jaillisse en nous l’artiste d’éloquence
Qui ne cherchait qu’à poindre en ce bain d’insouciance
Afin que ces tableaux adoptent la piété
De soumettre l’ardeur d’une œuvre réussie.
C’est en faisant sortir l’enfant qui est en nous
Que nous pouvons compter étoffer sans à-coup
Nos techniques primées afin que s’édifie
Notre amélioration sous nos mains chevronnées
Avant d’être affublé d’un titre de renom
Pour honorer l’auteur de ses fabulations
Qui nous font voyager dans son globe enchanté.
Alors pour débuter dans l’art qui nous illustre
Disney sera toujours une source inspirante
Faisant luire nos mœurs sous l’égide attrayante
De ces films qui octroient un arpège de lustres
En métaphorisant l’apogée d’une esquisse
Par leurs codes marquant le suc substantifique
Du plus beau des apports pour créer nos rythmiques.
C’est pourquoi pour finir sous ma plume inventrice
Je souhaiterai toucher à deux animations
Un mot pour remercier un rat et un pays
De m’avoir inculqué une tendre élégie
D’une osmose vertueuse en une partition
Qui édicte en mon âme un chantant aphorisme.
Merci mon cuisinier mon vaillant défenseur
De la gastronomie en gratifiant nos cœurs
Par tes compositions tendant au paroxysme
D’un mélange ajusté d’harmonieuses saveurs
Pour achever ma vue sous une apothéose
La plus somptueuse fin éclairée sous la prose
D’un brillant aparté pour dresser les primeurs
Défendant des partis illustrés par Rémy.
Suite à ce descriptif de ce film détenant
Le plus grand des finals d’un magistral élan
J’aspire à couronner mon tableau favori
Dépeignant un chef-d’œuvre en ses couleurs moirés
Afin de célébrer le festival des morts
A Santa-Cecilia me happant sous son sort
Par son haut scénario sous son touchant diapré.
Oiseau Lyre.
J’oscillais avec crainte en ce saphir terreux
Quand ma perle accoucha de son rayon ombré
Me sentant esseulée dans ce monde aliéné
N’arrivant à saisir ces dires belliqueux
Qui vrillent mes tympans depuis mes premiers pas
Afin d’annihiler gratuitement mon être.
Alors je compris qu’il me fallait me repaître
En partant dans un lieu pour me faire un repas
Où l’onirisme étant sa substance première
Afin de m’évader dans un Eden accort
Où raisonne un seul nom nous mettant en accord
Que sous ces traits experts au goût imaginaire
Un grand homme a fait naître un empire atypique.
Il a su m’envoûter lors de ma découverte
De cette nitescence aux morales ouvertes
Qui pour les inculquer aux différents publiques
Se fonde sur l’esprit d’avoir avec brio
Crée des sédiments aux diverses lectures
Afin de nous prouver sous ses douces peintures
Que la magie ne meurt sous ses coups de pinceaux
Offrant de la lumière en nos cœurs embrunis.
Qu’importe le quantième où l’on est apparu
Rêver et s’immerger sur un sol inconnu
N’a rien de désinvolte abolissons les bruits
Les poncifs incongrus qui réduisent sa plume
Au stade de l’éveil tel de l’art immature.
Alors que du bambin sous sa sainte stature
On n’a tout à savoir sur ces œuvres posthumes
Ou encore former sous la main du géant
Qui a confectionné des songes immortels
Afin de nous narrer que sous ses étincelles
Se camoufle un message enseigné par l’enfant
Rêver n’a pas de fin c’est un immuable conte.
Alors n’ayons pas peur d’innover en suivant
Ces candides savants qui d’un amour fervent
Vont guider nos fusains pour dessiner sans honte
Nos chimères croquées au sein de nos pensées
Pour que jaillisse en nous l’artiste d’éloquence
Qui ne cherchait qu’à poindre en ce bain d’insouciance
Afin que ces tableaux adoptent la piété
De soumettre l’ardeur d’une œuvre réussie.
C’est en faisant sortir l’enfant qui est en nous
Que nous pouvons compter étoffer sans à-coup
Nos techniques primées afin que s’édifie
Notre amélioration sous nos mains chevronnées
Avant d’être affublé d’un titre de renom
Pour honorer l’auteur de ses fabulations
Qui nous font voyager dans son globe enchanté.
Alors pour débuter dans l’art qui nous illustre
Disney sera toujours une source inspirante
Faisant luire nos mœurs sous l’égide attrayante
De ces films qui octroient un arpège de lustres
En métaphorisant l’apogée d’une esquisse
Par leurs codes marquant le suc substantifique
Du plus beau des apports pour créer nos rythmiques.
C’est pourquoi pour finir sous ma plume inventrice
Je souhaiterai toucher à deux animations
Un mot pour remercier un rat et un pays
De m’avoir inculqué une tendre élégie
D’une osmose vertueuse en une partition
Qui édicte en mon âme un chantant aphorisme.
Merci mon cuisinier mon vaillant défenseur
De la gastronomie en gratifiant nos cœurs
Par tes compositions tendant au paroxysme
D’un mélange ajusté d’harmonieuses saveurs
Pour achever ma vue sous une apothéose
La plus somptueuse fin éclairée sous la prose
D’un brillant aparté pour dresser les primeurs
Défendant des partis illustrés par Rémy.
Suite à ce descriptif de ce film détenant
Le plus grand des finals d’un magistral élan
J’aspire à couronner mon tableau favori
Dépeignant un chef-d’œuvre en ses couleurs moirés
Afin de célébrer le festival des morts
A Santa-Cecilia me happant sous son sort
Par son haut scénario sous son touchant diapré.
Oiseau Lyre.