Hors ligne
Une plaine
Une plaine étendait son herbe à l’horizon
Qui ployait sous le vent réveillé par l’aurore.
Le soleil du matin reluisait comme l’or
Et ses tièdes rayons hélaient les floraisons.
Le vent de la plaine fuyant à l’horizon
Levait au firmament des nuages incolores,
Des géants d’ivoire que contemplait la flore
Attendant l’eau du ciel pluvieuses déraisons.
Des chevaux sauvages au galop étouffé
Dévalaient sourdement fougueux et assoiffés
Jusqu’à la rivière les vertes vastitudes,
Paisibles voyageurs sous les géants du ciel
Perdus dans l’errance de vertes quiétudes
Tiédis par la chaleur d’un soleil éternel.
Une plaine étendait son herbe à l’horizon
Qui ployait sous le vent réveillé par l’aurore.
Le soleil du matin reluisait comme l’or
Et ses tièdes rayons hélaient les floraisons.
Le vent de la plaine fuyant à l’horizon
Levait au firmament des nuages incolores,
Des géants d’ivoire que contemplait la flore
Attendant l’eau du ciel pluvieuses déraisons.
Des chevaux sauvages au galop étouffé
Dévalaient sourdement fougueux et assoiffés
Jusqu’à la rivière les vertes vastitudes,
Paisibles voyageurs sous les géants du ciel
Perdus dans l’errance de vertes quiétudes
Tiédis par la chaleur d’un soleil éternel.