- Inscrit
- 19 Octobre 2018
- Messages
- 2,753
- J'aime
- 5,402
- Points
- 173
- Age
- 84
- Localité
- Orléans
- Je suis
- Un homme
Hors ligne
Valentine le temps viendra faner vos roses
comme il rida mon front ou chaque année se pose !
De Valentineries je n'ai plus vraiment l'âge
Pourtant j'aurais aimé quelques batifolages
Cerclés de rosacées, ce délicat symbole
Du corps qui se réveille et du cœur qui s'affole
Car j’aimais bien jadis réunir en un jour
les différentes pièces qui composent l’amour
Et faire que le puzzle en ce moment propice
Réunisse l’envie l’ardeur et leurs délices
Or l’âge s’allongeant ne nuit pas au mental
Il diminue plutôt le feu sentimental
Mais les bonheurs du corps perdant de la fréquence
Il faut bien se résoudre à quelques nonchalances
Pourtant quelques désirs permettant des retours
De tendres résurgences parlent des jeux d’amour
Et les feux survivants dans l’esprit d’un amant
Rappelle de la jeunesse un soupçon de printemps
Et valentinement je me vois ma très chère
Hésiter quelque peu à toute surenchère
Je puis d’une préface enchanter longuement
Sans du zénith charnel pouvoir le doublement
Je me contenterai de vous parler d’amour
Espérant un désir venant à mon secours
Et si un renouveau survenait par hasard
Je serais très heureux que vous y preniez part.
comme il rida mon front ou chaque année se pose !
De Valentineries je n'ai plus vraiment l'âge
Pourtant j'aurais aimé quelques batifolages
Cerclés de rosacées, ce délicat symbole
Du corps qui se réveille et du cœur qui s'affole
Car j’aimais bien jadis réunir en un jour
les différentes pièces qui composent l’amour
Et faire que le puzzle en ce moment propice
Réunisse l’envie l’ardeur et leurs délices
Or l’âge s’allongeant ne nuit pas au mental
Il diminue plutôt le feu sentimental
Mais les bonheurs du corps perdant de la fréquence
Il faut bien se résoudre à quelques nonchalances
Pourtant quelques désirs permettant des retours
De tendres résurgences parlent des jeux d’amour
Et les feux survivants dans l’esprit d’un amant
Rappelle de la jeunesse un soupçon de printemps
Et valentinement je me vois ma très chère
Hésiter quelque peu à toute surenchère
Je puis d’une préface enchanter longuement
Sans du zénith charnel pouvoir le doublement
Je me contenterai de vous parler d’amour
Espérant un désir venant à mon secours
Et si un renouveau survenait par hasard
Je serais très heureux que vous y preniez part.
Dernière édition:
