VIVRE...

Ma ville est silencieuse, endormie,
Mon quartier a sombrer dans l’inertie,
Ma rue ,est calme, presque paralysée,
Même le souffle du vent à cessé !

Les voitures sont au repos :
Dehors, pas même un vélo,
Les sportifs rongent leur frein,
Se balader, aujourd’hui ça craint !

Une saleté de virus, venu de Chine,
S’acharne sur nous ,et décime,
La France, l’Europe et nos voisins,
Et bien d’autres beaucoup plus loin :!

Catastrophe mondiale, et sanitaire,
S’écrit-t-on dans les ministères,
Après le réchauffement de la planète
Nous voilà sur la sellette !

L’Italie, pleure et enterre ses habitants,
Tout comme la Chine, il y a peu de temps !
La France avance dans la bataille
Au milieu d’une belle pagaille !

Il est tout en couronne, cet intrus,
Né dont ne sait quel individu,
Il attaque ,tel un conquistador
Sans retenu, il sème la mort !

Le peuple aujourd’hui a tort,
De s’imaginer le plus fort,
L’épidémie comme une diablesse
Attaque même notre jeunesse !

Pas facile ce confinement
Que nous impose nos gouvernants,
Pas évident, ces privations
Qui touche notre nation !

Soyons adultes,et efficaces,
Evitons que l’on « trépasse »
Ensemble luttons contre l’intrus
A mort le corona virus !

G.Perrin 18 MARS 2020

C'est un écrit morose
mais évitant la prose
il est une lumière
au fond de notre ornière.

Compliments.

"la poésie c'est ce qui renaît quand un monde est détruit" Victor Hugo.

Tu as très bien décrit notre situation actuelle chère Loulette

Oui morose, c'est bien ça;
C'est bizarre,je trouve qu'en vieillissant,on ne s'adapte pas, on subit, on "fait avec"....presque comme si on se résignait;Il faut dire que lorsqu'on entend "nous n'avons pas assez de respirateurs,nous devons faire un choix sur les malades"ça fiche un peu d'angoisse tout de même!Même si je pense que les plus jeunes doivent être privilégiés,mais l'entendre m'a" surprise"....

Le printemps fait sa ronde
En attendant le retour des cigales
Et un Tsunami virale
Vient inonder le monde
Tu as raison de prôner l'unité
La seule à sauver notre été…

Merci Loulette
A*Bonois
Bien à toi

Une relecture