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Poème Zoziologie !

Peniculo

Grand poète
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#1
Zoziologie !


Le soleil enfin là, nous petit déjeunions
Le parasol ouvert tard sur notre balcon.
Nous en avions fini et j’allais essuyer
La table où mille miettes vinrent s’éparpiller
Quand je vis sur le bord d’une chaise, perchés
Deux oiseaux paraissant fort peu effarouchés
Attendant je suppose que je quitte les lieux
Pour s’occuper des restes de pain délicieux.

Ils firent le ménage et ne laissèrent rien
Puis revinrent chaque jour, cela créa des liens
Au point qu’ils se posaient sur la table aussitôt
Qu’ils me voyaient partir emmenant le plateau.
Et tout ce qui restait de choses consommables
Disparaissait laissant impeccable la table.
Même un coup de torchon n’était pas nécessaire
Les oiseaux nettoyaient de façon exemplaire.

Hélas un beau matin sans doute tombé du lit
Je nettoyai la table le déjeuner fini.
Les oiseaux mécontents ne cachent pas leur rage :
C’est quoi cet ahuri négligeant les usages ?
De la voix et du bec sur la table en métal
Ils font une manif et un bruit infernal
Je négocie la paix en leur donnant du pain
Légèrement beurré comme chaque matin.

Mes emplumés sonores ont soudain fait silence
J’apporte alors un fruit implorant leur clémence.
Je l’ai échappé belle Ils partent satisfaits
J’ai frôlé le procès pour mon affreux méfait!






 
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21 Octobre 2018
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Je suis
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#4
Zoziologie !


Le soleil enfin là, nous petit déjeunions
Le parasol ouvert tard sur notre balcon.
Nous en avions fini et j’allais essuyer
La table où mille miettes vinrent s’éparpiller
Quand je vis sur le bord d’une chaise, perchés
Deux oiseaux paraissant fort peu effarouchés
Attendant je suppose que je quitte les lieux
Pour s’occuper des restes de pain délicieux.


Ils firent le ménage et ne laissèrent rien
Puis revinrent chaque jour, cela créa des liens
Au point qu’ils se posaient sur la table aussitôt
Qu’ils me voyaient partir emmenant le plateau.
Et tout ce qui restait de choses consommables
Disparaissait laissant impeccable la table.
Même un coup de torchon n’était pas nécessaire
Les oiseaux nettoyaient de façon exemplaire.


Hélas un beau matin sans doute tombé du lit
Je nettoyai la table le déjeuner fini.
Les oiseaux mécontents ne cachent pas leur rage :
C’est quoi cet ahuri négligeant les usages ?
De la voix et du bec sur la table en métal
Ils font une manif et un bruit infernal
Je négocie la paix en leur donnant du pain
Légèrement beurré comme chaque matin.


Mes emplumés sonores ont soudain fait silence
J’apporte alors un fruit implorant leur clémence.
Je l’ai échappé belle Ils partent satisfaits
J’ai frôlé le procès pour mon affreux méfait!
A force ils s'apprivoisé nt très bien et ils arrivent même à entrer dans la loggia
Tout contents des petits bouts de pain sur un vieux meubles
Ben écrit
Merci et bonne journée
Gaby
 

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