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- LE KREMLIN BICETRE
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Si tu n’as, petit gars, jamais franchi le pas,
De ce que tes bons copains appellent une nouba,
Sauve- la face, trouves l’excuse, car tu ne perdras rien
De remettre la beuverie au lendemain du lendemain.
On te dit que c’est la règle pour devenir un homme,
Que tu vas approcher de très près le summum,
Que tu vas t’éclater, picoler comme un fou
Les gros durs à tes pieds, les gonzesses à genoux.
Évites – toi de vomir tes tripes dans les toilettes,
Ton haleine de porc repoussera les minettes,
Les fumées te fe’ront voir des rêves tout en bleu,
Au réveil le matin tes bronches seront en feu.
Un marteau enfoncera des grands clous dans ta tête,
En sommeil tu auras dégueulassé ta couette.
L’odeur du pain frais te portera au cœur,
Tu t’en s’ras bien tiré, comprendras ton erreur.
Quand tes yeux s’ouvriront tu liras le journal,
Les faits divers pourtant n’auront rien de banal,
T’apprendras que des jeunes en caisse se sont plantés,
A la petite cuillère ont les a ramassés.
Des jeunes filles en fleur ignorantes, droguées,
Expliqu’ont leur malheur dans un entre filet.
Elles auront bu des verres en riant aux éclats,
Mais verseront des larmes constatant les dégâts.
Pas besoin de picole pour découvrir la vie,
Joues plutôt solitaire avec tes p’tites amies,
Les vraies femmes n’aiment pas les bourrins,
Qui pour se libérer, substituts ont besoin.
De ce que tes bons copains appellent une nouba,
Sauve- la face, trouves l’excuse, car tu ne perdras rien
De remettre la beuverie au lendemain du lendemain.
On te dit que c’est la règle pour devenir un homme,
Que tu vas approcher de très près le summum,
Que tu vas t’éclater, picoler comme un fou
Les gros durs à tes pieds, les gonzesses à genoux.
Évites – toi de vomir tes tripes dans les toilettes,
Ton haleine de porc repoussera les minettes,
Les fumées te fe’ront voir des rêves tout en bleu,
Au réveil le matin tes bronches seront en feu.
Un marteau enfoncera des grands clous dans ta tête,
En sommeil tu auras dégueulassé ta couette.
L’odeur du pain frais te portera au cœur,
Tu t’en s’ras bien tiré, comprendras ton erreur.
Quand tes yeux s’ouvriront tu liras le journal,
Les faits divers pourtant n’auront rien de banal,
T’apprendras que des jeunes en caisse se sont plantés,
A la petite cuillère ont les a ramassés.
Des jeunes filles en fleur ignorantes, droguées,
Expliqu’ont leur malheur dans un entre filet.
Elles auront bu des verres en riant aux éclats,
Mais verseront des larmes constatant les dégâts.
Pas besoin de picole pour découvrir la vie,
Joues plutôt solitaire avec tes p’tites amies,
Les vraies femmes n’aiment pas les bourrins,
Qui pour se libérer, substituts ont besoin.