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L’hiver est sorti de sa tombe
garni d’une froide encolure,
c’est à toi ma douce colombe
que je pense, je te l’assure
Je te couvre, tout en silence
et t’enveloppe de mes mots,
je t’offre ma bienveillance
afin qu’elle te tienne chaud
L’hiver fait taire les oiseaux
mais ceux qui logent dans mon coeur,
ce nid douillet où il fait beau,
s’abreuvent aux sources du bonheur
Nos sentiments, sont cet opus
que jouent les notes du pianiste,
ainsi, la plume et son hiatus
font que nos lèvres hédonistes
se rapprochent pour se goûter,
victimes d’un sortilège
où même la raison perd pied
et se noie sous un florilège
d’amour que l’instant gouverne,
sans jamais savoir si toujours.
Bientôt la nuit sera terne
et à l’obscurité du jour
Je te prendrai la main…
Moïse-Wolff
le 21/11/2018
tous droits réservés
garni d’une froide encolure,
c’est à toi ma douce colombe
que je pense, je te l’assure
Je te couvre, tout en silence
et t’enveloppe de mes mots,
je t’offre ma bienveillance
afin qu’elle te tienne chaud
L’hiver fait taire les oiseaux
mais ceux qui logent dans mon coeur,
ce nid douillet où il fait beau,
s’abreuvent aux sources du bonheur
Nos sentiments, sont cet opus
que jouent les notes du pianiste,
ainsi, la plume et son hiatus
font que nos lèvres hédonistes
se rapprochent pour se goûter,
victimes d’un sortilège
où même la raison perd pied
et se noie sous un florilège
d’amour que l’instant gouverne,
sans jamais savoir si toujours.
Bientôt la nuit sera terne
et à l’obscurité du jour
Je te prendrai la main…
Moïse-Wolff
le 21/11/2018
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