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ABHORRE SOIT CE SORTILÈGE
Du lever de Soleil à son coucher
De tant de merveilles, j’ai oublié
Sûrement aspiré dans cette spirale
Malgré ce toit bleu aux immenses étoiles
De la douce rosée des matins
Où j’ai très souvent cherché ta main
A attendre la fraîcheur des soirs
Vers quelques heures de désespoir
J’aimerai mourir dans cette mer
D’où, je n’ai jamais vu la terre
Si Inspiré par cet univers
Aspiré vers ce halo ouvert
Mes pensées cristallisent la pluie
Quand, dans la nuit minuit se poursuit
J’ai froid, je vois tomber la neige
Abhorre soit ce sortilège
Pourtant, tu es toujours mon soleil
Comme une reine, une éternelle
L’astre qui réchauffe tous les vents
Dans mon âme il y a ton sang
La rivière est grande pour l’orpailleur
Même si ses pensées sont toujours ailleurs
Le pétale d’or qui orne sa bâtée
Est une étoile de plus pour son aimée
Le ciel de nuit s’éclaire à la bougie
La très douce musique de la source
Donne le LA pour des rêves en mélodies
D’un profond sommeil sous la Grande Ourse
Le puits de l’imagination n’a pas de fond
Et plus nous y cherchons la compréhension
Plus nous descendons dans l’hallucination
Si doucement emportés dans le tréfonds
Un doux réveil, guidé d’un simple baiser
Fait aimer d’un geste la réalité
De ses lèvres humides apparait la fée
A la lumière du jour, elle disparait
04/2022
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ABHORRE SOIT CE SORTILÈGE
Du lever de Soleil à son coucher
De tant de merveilles, j’ai oublié
Sûrement aspiré dans cette spirale
Malgré ce toit bleu aux immenses étoiles
De la douce rosée des matins
Où j’ai très souvent cherché ta main
A attendre la fraîcheur des soirs
Vers quelques heures de désespoir
J’aimerai mourir dans cette mer
D’où, je n’ai jamais vu la terre
Si Inspiré par cet univers
Aspiré vers ce halo ouvert
Mes pensées cristallisent la pluie
Quand, dans la nuit minuit se poursuit
J’ai froid, je vois tomber la neige
Abhorre soit ce sortilège
Pourtant, tu es toujours mon soleil
Comme une reine, une éternelle
L’astre qui réchauffe tous les vents
Dans mon âme il y a ton sang
La rivière est grande pour l’orpailleur
Même si ses pensées sont toujours ailleurs
Le pétale d’or qui orne sa bâtée
Est une étoile de plus pour son aimée
Le ciel de nuit s’éclaire à la bougie
La très douce musique de la source
Donne le LA pour des rêves en mélodies
D’un profond sommeil sous la Grande Ourse
Le puits de l’imagination n’a pas de fond
Et plus nous y cherchons la compréhension
Plus nous descendons dans l’hallucination
Si doucement emportés dans le tréfonds
Un doux réveil, guidé d’un simple baiser
Fait aimer d’un geste la réalité
De ses lèvres humides apparait la fée
A la lumière du jour, elle disparait
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