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Poème Ah!Combien j'étais innocent!

troubadour

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#1
Je me rappelle de cette atmosphère puérile,
A la venue de notre gracieuse demoiselle.

A notre sanctuaire, cet oratoire d'abeilles,
La ruche se tue, aucun bruit, ni battement d'ailes.

La reine s'élance dans son ballet royal,
Au son de sa lecture, d'une voix magistrale.
Et nous émerveillés, accrochés à ses lèvres,

Chacun de nous, n'avait qu'un unique rêve.


Que le doux regard noir de notre madone,
Illumine son esprit, que son cœur frissonne.
Quant à moi, disciple assidu, l'air savant,
Je suivais à la lettre ses enseignements.

Arborant ma joie, quand je croise son regard,
veinard que je suis, victime de Cupidon.
Je m'enivrai de sa douce beauté sans fard,
Fort que je suis, j'ai cru la séduire, c'est un don!

j'admirai son corps, au rythme de ses écrits,
Cette silhouette fine, bien moulue dans sa peau.
La caressant des yeux, moi le grand incompris,
Un sourire ornait, son visage si beau.

Son parfum hantait notre mémoire et classe,
Tel l'encens sacré parfumant une chapelle.
J'ai cru tout avoir, l'avenir et la classe!
A dix ans, je ferai bien avec elle la belle.

Et j'en voulais grandement à tous mes rivaux,
De vouloir conquérir le cœur de ma reine,
Je me surpassais, devant ces petits cerveaux,
Jalousement, je conduisais mes folles rênes.

Quand elle se penche sur moi, lire mes poèmes,
J' hume cet encensoir, j'aspire la fraîcheur de son âme.
J'enviais à ce maillon au creux de ses blâmes,
Qui n'avaient nul besoin d'éloges, ni de réclames.

Oui, je la voulais uniquement pour moi seul,
Restais avec elle, jusqu'on nous couvre de linceul.
Ma belle icône de Français, mademoiselle,
Je n'étais qu'un élève, sans âge, ni oseille.

Quand notre idole portait sa jupette,
Ce jour là, pour nous tous c'est la fête.
On se ruait pour être derrière notre abbesse,
Nous yeux suspendus à ses pans et ses fesses.

Mes frères se bousculaient derrière notre nonne,
Pieusement pressés pour aller à la messe!
Yeux rivés, aucune idée ne les chiffonne,
La main sur le cœur et l’œil vif sur la fesse.

Quand elle s'appuyait sur une chaire voisine,
Et sa jupette se mettait à tanguer,
Elle faisait languir mes frères et voisines,
Cette magnifique croupe qui les narguait.

Oui, on aimait tellement notre altesse,
Qu'on rêvait être dans ses bras toutes les nuits,
Pensant à ses baisers et tendres caresses,
Tout en nous s' hérissait sans le moindre bruit.

Mais un jour, notre attente fut très longue,
Mélancoliques, chacun de nous pressentait,
Dans l'absence de notre maîtresse de langue,
Une âme s'est éteinte trahie par sa santé.

Le directeur en pleurs, ne pouvant révéler,
Que notre vierge n'a pas pu se réveiller,
Le monde était en larmes dans la chapelle,
Qu'elle avait hanté, par ses effluves rebelles.

Elle dort sous l'ombre d'un jasmin que j'ai planté,
Juste après quelque jours, qu'elle m'avait quitté,
Où je viens me recueillir chaque semaine,
Témoignant respect que je porte pour ma reine,
et ma fidélité.






téléchargement (10).jpg

22/03/2010
 

astree84

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#2
Je me rappelle de cette atmosphère puérile,
A la venue de notre gracieuse demoiselle.
A notre sanctuaire, cet oratoire d'abeilles,
La ruche se tue, aucun bruit, ni battement d'ailes.


La reine s'élance dans son ballet royal,
Au son de sa lecture, d'une voix magistrale.
Et nous émerveillés, accrochés à ses lèvres,
Chacun de nous, n'avait qu'un unique rêve.


Que le doux regard noir de notre madone,
Illumine son esprit, que son cœur frissonne.
Quant à moi, disciple assidu, l'air savant,
Je suivais à la lettre ses enseignements.


Arborant ma joie, quand je croise son regard,
veinard que je suis, victime de Cupidon.
Je m'enivrai de sa douce beauté sans fard,
Fort que je suis, j'ai cru la séduire, c'est un don!


j'admirai son corps, au rythme de ses écrits,
Cette silhouette fine, bien moulue dans sa peau.
La caressant des yeux, moi le grand incompris,
Un sourire ornait, son visage si beau.


Son parfum hantait notre mémoire et classe,
Tel l'encens sacré parfumant une chapelle.
J'ai cru tout avoir, l'avenir et la classe!
A dix ans, je ferai bien avec elle la belle.


Et j'en voulais grandement à tous mes rivaux,
De vouloir conquérir le cœur de ma reine,
Je me surpassais, devant ces petits cerveaux,
Jalousement, je conduisais mes folles rênes.


Quand elle se penche sur moi, lire mes poèmes,
J' hume cet encensoir, j'aspire la fraîcheur de son âme.
J'enviais à ce maillon au creux de ses blâmes,
Qui n'avaient nul besoin d'éloges, ni de réclames.


Oui, je la voulais uniquement pour moi seul,
Restais avec elle, jusqu'on nous couvre de linceul.
Ma belle icône de Français, mademoiselle,
Je n'étais qu'un élève, sans âge, ni oseille.


Quand notre idole portait sa jupette,
Ce jour là, pour nous tous c'est la fête.
On se ruait pour être derrière notre abbesse,
Nous yeux suspendus à ses pans et ses fesses.


Mes frères se bousculaient derrière notre nonne,
Pieusement pressés pour aller à la messe!
Yeux rivés, aucune idée ne les chiffonne,
La main sur le cœur et l’œil vif sur la fesse.


Quand elle s'appuyait sur une chaire voisine,
Et sa jupette se mettait à tanguer,
Elle faisait languir mes frères et voisines,
Cette magnifique croupe qui les narguait.


Oui, on aimait tellement notre altesse,
Qu'on rêvait être dans ses bras toutes les nuits,
Pensant à ses baisers et tendres caresses,
Tout en nous s' hérissait sans le moindre bruit.


Mais un jour, notre attente fut très longue,
Mélancoliques, chacun de nous pressentait,
Dans l'absence de notre maîtresse de langue,
Une âme s'est éteinte trahie par sa santé.


Le directeur en pleurs, ne pouvant révéler,
Que notre vierge n'a pas pu se réveiller,
Le monde était en larmes dans la chapelle,
Qu'elle avait hanté, par ses effluves rebelles.


Elle dort sous l'ombre d'un jasmin que j'ai planté,
Juste après quelque jours, qu'elle m'avait quitté,
Où je viens me recueillir chaque semaine,
Témoignant respect que je porte pour ma reine,
et ma fidélité.






Voir la pièce jointe 13781
22/03/2010
hé oui, les jolies maitresse en ont fait tourner des têtes, mais aussi fait rentrer beaucoup de savoir dans les jeunes têtes, avec une jeune et belle maitresse, les jeunes élèves s'appliquait plus pour lui faire plaisir, et aller à l'école était un bonheur! j'ai aimé votre poème qui m'a rappelé des souvenirs de quand mes fils aussi étaient amoureux de leur belle maitresse,
la fin de votre poème est bien triste, pour un enfant un pareil drame est terrible, dans le monde où elle fait maintenant la classe aux jeunes anges, elle doit aimer votre jasmin et parfois venir en humer le parfum!
 
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hé oui, les jolies maitresse en ont fait tourner des têtes, mais aussi fait rentrer beaucoup de savoir dans les jeunes têtes, avec une jeune et belle maitresse, les jeunes élèves s'appliquait plus pour lui faire plaisir, et aller à l'école était un bonheur! j'ai aimé votre poème qui m'a rappelé des souvenirs de quand mes fils aussi étaient amoureux de leur belle maitresse,
la fin de votre poème est bien triste, pour un enfant un pareil drame est terrible, dans le monde où elle fait maintenant la classe aux jeunes anges, elle doit aimer votre jasmin et parfois venir en humer le parfum!
Merci troubadour. J"ai connu ce sentiment
Et pour continuer de la voir je l'ai mise marraine de ma fille.
Pourtant il n'y a jamais rien eu entre elle et moi.
Merci de ce partage
Gaby
 

Espérance

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#5
Je me rappelle de cette atmosphère puérile,
A la venue de notre gracieuse demoiselle.

A notre sanctuaire, cet oratoire d'abeilles,
La ruche se tue, aucun bruit, ni battement d'ailes.

La reine s'élance dans son ballet royal,
Au son de sa lecture, d'une voix magistrale.
Et nous émerveillés, accrochés à ses lèvres,

Chacun de nous, n'avait qu'un unique rêve.


Que le doux regard noir de notre madone,
Illumine son esprit, que son cœur frissonne.
Quant à moi, disciple assidu, l'air savant,
Je suivais à la lettre ses enseignements.

Arborant ma joie, quand je croise son regard,
veinard que je suis, victime de Cupidon.
Je m'enivrai de sa douce beauté sans fard,
Fort que je suis, j'ai cru la séduire, c'est un don!

j'admirai son corps, au rythme de ses écrits,
Cette silhouette fine, bien moulue dans sa peau.
La caressant des yeux, moi le grand incompris,
Un sourire ornait, son visage si beau.

Son parfum hantait notre mémoire et classe,
Tel l'encens sacré parfumant une chapelle.
J'ai cru tout avoir, l'avenir et la classe!
A dix ans, je ferai bien avec elle la belle.

Et j'en voulais grandement à tous mes rivaux,
De vouloir conquérir le cœur de ma reine,
Je me surpassais, devant ces petits cerveaux,
Jalousement, je conduisais mes folles rênes.

Quand elle se penche sur moi, lire mes poèmes,
J' hume cet encensoir, j'aspire la fraîcheur de son âme.
J'enviais à ce maillon au creux de ses blâmes,
Qui n'avaient nul besoin d'éloges, ni de réclames.

Oui, je la voulais uniquement pour moi seul,
Restais avec elle, jusqu'on nous couvre de linceul.
Ma belle icône de Français, mademoiselle,
Je n'étais qu'un élève, sans âge, ni oseille.

Quand notre idole portait sa jupette,
Ce jour là, pour nous tous c'est la fête.
On se ruait pour être derrière notre abbesse,
Nous yeux suspendus à ses pans et ses fesses.

Mes frères se bousculaient derrière notre nonne,
Pieusement pressés pour aller à la messe!
Yeux rivés, aucune idée ne les chiffonne,
La main sur le cœur et l’œil vif sur la fesse.

Quand elle s'appuyait sur une chaire voisine,
Et sa jupette se mettait à tanguer,
Elle faisait languir mes frères et voisines,
Cette magnifique croupe qui les narguait.

Oui, on aimait tellement notre altesse,
Qu'on rêvait être dans ses bras toutes les nuits,
Pensant à ses baisers et tendres caresses,
Tout en nous s' hérissait sans le moindre bruit.

Mais un jour, notre attente fut très longue,
Mélancoliques, chacun de nous pressentait,
Dans l'absence de notre maîtresse de langue,
Une âme s'est éteinte trahie par sa santé.

Le directeur en pleurs, ne pouvant révéler,
Que notre vierge n'a pas pu se réveiller,
Le monde était en larmes dans la chapelle,
Qu'elle avait hanté, par ses effluves rebelles.

Elle dort sous l'ombre d'un jasmin que j'ai planté,
Juste après quelque jours, qu'elle m'avait quitté,
Où je viens me recueillir chaque semaine,
Témoignant respect que je porte pour ma reine,
et ma fidélité.






Voir la pièce jointe 13781
22/03/2010

Bravo, quelle verve poétique !
 

Victoria5983

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#6
Je me rappelle de cette atmosphère puérile,
A la venue de notre gracieuse demoiselle.
A notre sanctuaire, cet oratoire d'abeilles,
La ruche se tue, aucun bruit, ni battement d'ailes.


La reine s'élance dans son ballet royal,
Au son de sa lecture, d'une voix magistrale.
Et nous émerveillés, accrochés à ses lèvres,
Chacun de nous, n'avait qu'un unique rêve.


Que le doux regard noir de notre madone,
Illumine son esprit, que son cœur frissonne.
Quant à moi, disciple assidu, l'air savant,
Je suivais à la lettre ses enseignements.


Arborant ma joie, quand je croise son regard,
veinard que je suis, victime de Cupidon.
Je m'enivrai de sa douce beauté sans fard,
Fort que je suis, j'ai cru la séduire, c'est un don!


j'admirai son corps, au rythme de ses écrits,
Cette silhouette fine, bien moulue dans sa peau.
La caressant des yeux, moi le grand incompris,
Un sourire ornait, son visage si beau.


Son parfum hantait notre mémoire et classe,
Tel l'encens sacré parfumant une chapelle.
J'ai cru tout avoir, l'avenir et la classe!
A dix ans, je ferai bien avec elle la belle.


Et j'en voulais grandement à tous mes rivaux,
De vouloir conquérir le cœur de ma reine,
Je me surpassais, devant ces petits cerveaux,
Jalousement, je conduisais mes folles rênes.


Quand elle se penche sur moi, lire mes poèmes,
J' hume cet encensoir, j'aspire la fraîcheur de son âme.
J'enviais à ce maillon au creux de ses blâmes,
Qui n'avaient nul besoin d'éloges, ni de réclames.


Oui, je la voulais uniquement pour moi seul,
Restais avec elle, jusqu'on nous couvre de linceul.
Ma belle icône de Français, mademoiselle,
Je n'étais qu'un élève, sans âge, ni oseille.


Quand notre idole portait sa jupette,
Ce jour là, pour nous tous c'est la fête.
On se ruait pour être derrière notre abbesse,
Nous yeux suspendus à ses pans et ses fesses.


Mes frères se bousculaient derrière notre nonne,
Pieusement pressés pour aller à la messe!
Yeux rivés, aucune idée ne les chiffonne,
La main sur le cœur et l’œil vif sur la fesse.


Quand elle s'appuyait sur une chaire voisine,
Et sa jupette se mettait à tanguer,
Elle faisait languir mes frères et voisines,
Cette magnifique croupe qui les narguait.


Oui, on aimait tellement notre altesse,
Qu'on rêvait être dans ses bras toutes les nuits,
Pensant à ses baisers et tendres caresses,
Tout en nous s' hérissait sans le moindre bruit.


Mais un jour, notre attente fut très longue,
Mélancoliques, chacun de nous pressentait,
Dans l'absence de notre maîtresse de langue,
Une âme s'est éteinte trahie par sa santé.


Le directeur en pleurs, ne pouvant révéler,
Que notre vierge n'a pas pu se réveiller,
Le monde était en larmes dans la chapelle,
Qu'elle avait hanté, par ses effluves rebelles.


Elle dort sous l'ombre d'un jasmin que j'ai planté,
Juste après quelque jours, qu'elle m'avait quitté,
Où je viens me recueillir chaque semaine,
Témoignant respect que je porte pour ma reine,
et ma fidélité.






Voir la pièce jointe 13781
22/03/2010
sublime ...la fin me laisse toute tristounette ....perso c'etait mon prof d'anglais ...un barbu en plus! déjà je craquais pour les barbus ....vas savoir ?? j'en ai un maintenant....lol je me relie et .....je vois que tu es barbu ...MDR j'avais pas percuté ....mais ce que je dis est vrai ....
 
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troubadour

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#8
sublime ...la fin me laisse toute tristounette ....perso c'etait mon prof d'anglais ...un barbu en plus! déjà je craquais pour les barbus ....vas savoir ?? j'en ai un maintenant....lol je me relie et .....je vois que tu es barbu ...MDR j'avais pas percuté ....mais ce que je dis est vrai ....
Pas loin,j'ai un bouc, ta boule n'a pas menti:LOL::ROFLMAO:
 

troubadour

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Je n'ai jamais été amoureux de maîtresse,
J'avais trop de respect pour la jeune prêtresse
Qui remplissait mes yeux d'un délicieux présage,
Bien qu'il pût s'avérer d'un pernicieux usage...

Bel écrit poétique ! j'♥
J'en ai bien connu, d'ailleurs pour clore je suis tombé sur une prof! et oui:ROFLMAO:
 

troubadour

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#11
Merci troubadour. J"ai connu ce sentiment
Et pour continuer de la voir je l'ai mise marraine de ma fille.
Pourtant il n'y a jamais rien eu entre elle et moi.
Merci de ce partage
Gaby
Il y'a toujours certaines personnes qui vous marquent à vie et vous restent en mémoire en bien ou en mal,sans me vanter j'avais avec mademoiselle les meilleurs notes des 15 et des 16,5 en rédaction avec des mentions très bon style,très bon devoir...Et oui:LOL:
 

troubadour

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#13
hé oui, les jolies maitresse en ont fait tourner des têtes, mais aussi fait rentrer beaucoup de savoir dans les jeunes têtes, avec une jeune et belle maitresse, les jeunes élèves s'appliquait plus pour lui faire plaisir, et aller à l'école était un bonheur! j'ai aimé votre poème qui m'a rappelé des souvenirs de quand mes fils aussi étaient amoureux de leur belle maitresse,
la fin de votre poème est bien triste, pour un enfant un pareil drame est terrible, dans le monde où elle fait maintenant la classe aux jeunes anges, elle doit aimer votre jasmin et parfois venir en humer le parfum!
La vie est ainsi faite mon amie.
 

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